Isie Tolkonovich
ELEVES *
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PSEUDO. : Fresh Flower
HUMEUR. : Contente
PHRASE PERSO'. : A la Passante de mon Coeur
Date d'inscription : 02/12/2008
YOU, MY FIRE HEART.
VOTRE CHEVAL .:
VOTRE PERSONNAGE.:
 | Sujet: Re: Isie von Duschl-Tolkonovich  Sam 6 Déc - 18:00 | |
| CARACTÈRE :
Ah ! Isie ce n’est pas la simplicité même. Autant le préciser tout de suite, elle est compliquée. Pas compliquée dans le sens, qu’elle s’invente des problèmes là où il n’y en a pas. Non, elle est réellement compliquée. Complexe, plutôt.
Dès son plus jeune âge, elle eu besoin de se définir autrement. Au lieu d’aller à droite comme tout le monde, elle allait à gauche, passait par des raccourcis, par des chemins très longs, pour arriver au même point que les autres. Mais avec 1 journée de retard ! Oui, la simplicité ce n’est pas trop son affaire. Mais elle ne le fait pas exprès.
Ce qui qualifie très bien Isie, c’est le fait, qu’elle soit attirante, mais ne joue pas de cela. Elle laisse les gens venir. Parfois elle vient d’elle-même. Mais elle n’est pas du style à essayer de se faire des amis. Non, elle laisse les choses venir comme elles sont. Disons, que si, elle sent que ça ne marchera pas, entre elle et quelqu’un, elle n’essayera pas d’en faire plus. Mais si elle sent qu’il y a « quelque chose », elle fera tout pour préserver la personne. Elle sera même un petit peu possessive, ce qui peut-être néfaste à la relation. D’un naturel timide, il sera rare, qu’elle parle comme une pipelette. Elle aura plutôt tendance à laisser parler la personne, et à sourire. En bref, il est dur de la cerner. Elle est tellement discrète, que pour découvrir sa façon d’être, faut s’accrocher ! Parce que ce n’est pas facile d’essayer de trouver la personnalité de quelqu’un, si ce quelqu’un est réservée. Pourtant, Isie dégage beaucoup de gentillesse et de sympathie. Elle attire naturellement les gens. Puis, elle a un tel charme ! Comment ne pas apprécier une fille, si charmante et séduisante ?!
Mais la demoiselle, elle est loin d’être parfaite. Enfaîte, son pire défaut est qu’elle peut être très hautaine et très méprisante. Quand on lui dit quelque chose qui la vexe, au lieu de montrer son désarroi et éventuellement son énervement, elle se contentera de vous sourire, ironiquement, avec un regard assassin, et un tel côté hautain. Horrible comme attitude ! Alors, si j'étais-vous, j’essayerai d’éviter de trop la chercher ! Elle peut être monstrueusement méchante. Pas par ces paroles (quoique parfois elle est assassine !) , mais par son attitude. Elle provient d’une famille de noble, n’oubliez-pas ! Elle n’a pas souvent l’habitude qu’on lui refuse quoique ce soit. Bon, pour le reste de son caractère, à vous de le trouver. Retenez juste qu’elle est gentille, et serviable, avec les gens qu’elles ne méprisent pas !
Question relations sentimentales, Isie elle ne connaît pas trop. Déjà, quand on a deux parents, qui ne se parlent pas, sauf pour affaires financières et qui ne partagent rien, il est dur de développer de l’amour. Déjà parce qu’elle n’en a pas reçu et qu’elle n’en a jamais vu ! Là seul fois, où l’on peut dire qu’elle a aimé, c’était avec les chevaux. Elle n’avait qu’eux. Et en partir grâce aux équidés, elle a pu « Tomber amoureuse ». Entre guillemet, car Isie ne comprenait pas très bien, pourquoi elle était attirée par ce garçon. Elle ne savait donc pas réagir face à lui. Ce garçon était un plus exactement un jeune homme. Lorsqu’elle était en seconde. Le genre de « gars » très populaire, mais qui arrive à tomber sous le charme de jeunes filles bien inoffensives et bien naïves. Ils n’étaient pas sortis ensemble. Mais tout le monde le croyait. Disons, qu’ils étaient proches et distants à la fois. Ils ne s’étaient embrassés qu’une fois, dans un jardin public. Une chose si importante pour Isie. Elle ne pouvait pas l’oublier. Elle n’eut pas d’autres relations.
QUALITÉS ET DÉFAUTS : Isie est serviable, et gentille. Elle porte en son cœur la sympathie que l’on lui donne et sait la rendre. Plutôt discrète, elle n’en reste pas moins intéressante. Elle peut être joviale, mais pas grande pipelette. Oui, ces qualités ne sont pas toutes visibles ! Elle est agréable, un peu discrète, mais douce et souriante. Oui, elle n’est pas non plus parfaite. Qui l’est ?
Il est vrai que ces défauts sont plus nombreux que ces qualités. En premier tant, c’est une grande possessive. Autant, elle arrive à se détacher des gens, très rapidement, mais elle reste très accrochée à ceux qu’elle aime ! Et la possession ne peut entraîner que de la jalousie ! Elle est très, mais alors très jalouse. Elle ne supporte pas la concurrence, mais une chose est sûr : jamais elle ne le montrera ! Elle a trop d’estime ! Cela lui parait inconcevable de montrer ce que l’on pense des gens. Elle ne dit rien non plus, mais n’en pense pas moins !
HISTOIRE : « Iise-Katarina-Appollinaryia-Anastasyia ! Kommen Sie » Il fallait toujours qu’ils empêchent un moindre moment de bonheurs. Ils devaient vous rappeler à quel point vous étiez soumise et négligée. Isie descendit en tout hâte les escaliers. Elle se devait d’être là. Mais son rôle était inutile. Il suffisait d’un sourire, quelques compliments, et sa présence n’était plus de rigueur. La transparence. Habillée dans une jolie robe, de taffetas et de soie, un collier discret, mais fort beau, elle s’approcha la tête haute, le sourire aux lèvres. Après un hochement de tête, en signe de salutations, elle s’approcha de sa mère. Celle-ci la prit par la taille, d’un bras, et afficha le plus radieux, mais hypocrite de ces sourires. Elle s’inventait une relation mère-fille inébranlable. Mais Isie savait bien que tout cela n’était que de la comédie. Sa mère n’était même pas là pour ses anniversaires. Sa mère n’avait même pas la bonté de lui prendre une nourrisse. Isie était seule, mais elle préférait cette situation à celle que vivait certaines de ses amies. Au moins, elle avait ce qu’elle voulait. Quand elle s’exclamait « Je veux », elle avait. Une fois la séance de « Je vous plais Madame et Monsieur ?! », Isie monta à l’étage. Rien dans sa chambre ne lui rappelait son enfance. Sa toute petite enfance. Pas même une peluche. Ah ! S’il y avait ce petit assortiment rose, très classieux. Pour bébé de la haute bourgeoisie, voyons ! Un bébé, même moche, se doit d’être classe. C’était le cas d’Isie. Sauf qu’elle était, à sa naissance, particulièrement jolie. Elle sortit la petite tunique rose, de son enfance, et s’allongea sur son lit. Que c’était-il donc passé ? Rien à ses souvenirs. Pleins à ceux de son père et de sa mère. Et les deux intéressés, y réfléchissaient longuement…
Pourquoi c’étaient-ils mariés ? Par convention et complaisance ? Oui, hélas. Il est vrai qu’on ne choisit pas toujours sa femme ou son mari. Ni sa famille. Ils n’avaient que leur richesse en commun. Mais rien ne les rassemblaient ! L’un était sérieux et appliqué. L’autre était rêveuse et passionnée. Mais sans leur accord, ils s’étaient mariés. Et quelques années plus tard, sans amour, mais pour la succession et pour leur image, ils avaient eu un enfant. Il fallait montrer aux autres, qu’ils étaient unis. Un enfant en était l’exemple. Seulement, un enfant s’est mieux quand on s’aime. Car quand il n’y a pas d’amour, il n’y a rien du tout.
Advotyia repensait chaque jour à la naissance de sa fille. Comment avaient-ils pu ? Elle était allongée, le regard vide d’expressions. Elle se demandait, si cette enfant, changerait la relation avec son mari. Mais il fallait se l’avouer. Ces rêves de Prince Charmant et de beaux chevaliers s’étaient envolés en éclat. Et tout cela par Convention. Elle tourna la tête sur le côté, les larmes lui montaient aux yeux. Elle ne voulait pas de cet enfant. Non, elle n’en voulait pas ! Elle n’avait juste pas le choix. Et le moment, où cette enfant sorti de son ventre, la déchirant de douleurs, elle n’avait plus d’échappatoires.
« Voulez-vous porter l’enfant ? C’est une adorable petite fille ! » Advotyia observa le médecin, les larmes ruisselant sur son visage et cria :
« NON ! NON ! » Elle se retourna. Jamais elle n’arriverait à aimer cette enfant. Et c’était encore le cas maintenant.
De son côté, Florian Von Dushl n’était pas perturbé par Isis. Il fallait l’avouer, il s’en fichait. Ce n’était que pour l’image. Rien de plus. Il trompait sa « Femme », était heureux ainsi et en prime avait beaucoup d’argents. En bref, de quoi survenir en cas de problèmes. Alors sa petite fille, cela l’importait peu. Elle n’était pas là pour l’union, mais pour « La fausse famille ».
Autant dire, qu’avec des parents qui ne se parlaient que pour les finances et encore, Isie eut bien dû mal à grandir. Elle n’avait personne. Pas même un animal. Elle avait ses livres, c’était déjà une grande avancée. Mais la seule personne qui l’intéressait un petit peu, était le jardinier. Un homme fort gentil. Dès son plus jeune âge, elle venait le voir, dans sa petite robe de princesse et l’observait. Elle lui souriait chaleureusement. Mais elle ne l’aimait pas, car elle ne savait pas ce que c’était qu’aimer. Mais ce vieux monsieur lui avait inculqué la passion des animaux. Et se fut à l’âge de 5 ans, qu’elle découvrit l’amour de sa vie : Hippo.
Elle jeta la petite tunique rose, ses passés si merveilleux remontant à ses yeux. Ah! Hippo. Il lui avait tellement appris. Il lui avait appris l’amour, l’amitié, tout. Tout ce que ses parents avaient négligé ! Elle se rappelait de sa rencontre avec lui, comme si c’était hier. Elle avançait doucement, dans sa belle de princesse, le jardinier amusait de voir une petite fée dans la boue, entouré de grandes bêtes. Elle s’était tout de suite approché de ce petit poney, à l’époque 5 têtes de plus qu’elle. Elle le trouvait si beau ! Il était adorable, mais bien mauvais caractère. Comme par amusement, il s’était mis à courir, enfin à galoper, et s’amusait à promener la fillette, qui le suivait, les bras tendus en avant.
« Maudit Canasson ! » Voilà, ce qu’avait dit le jardinier. Isie c’était alors retourné, et se mit à rire, d’un rire que jamais elle n’avait pu avoir le loisir de libérer. Un rire s’y frais, s’y beau ! Et quelques années plus tard, elle chevauchait la bête de son enfance. Il n’avait plus que 4 têtes de plus ! Elle avait 6 ans. Et hélas, se fut la pire année de sa vie.
Elle stoppa nette ces pensées sur l’âge de 6 ans. Elle fouilla sous son lit et sortit une petite cassette. Elle avait une télévision et un magnétoscope dans son petit monde, bien petit, accompagné d’un lit ! Elle mit la vidéo en marche. C’était une vidéo bien amusante. Elle galopait sur Hippo, petit poney bien capricieux. Son sourire illuminait son visage, d’habitude terne et fermé. Elle était heureuse. Vraiment. Cette insouciance, cette liberté ! Mais très vite la vidéo se coupa, affichant un écran noir. Petite poupée soumise.
Elle se leva, lançant le costume ridicule rose contre la télévision. Marre de ne pas se rappeler avec certitude de son enfance. Elle se souvenait un petit peu de ses 7 ans. Ah ! Oui, l’inscription à son premier centre équestre. Elle l’avait choisi. Première dans sa vie. Choisir ! Elle se rappelait du petit « Je veux monter à cheval, dans un centre équestre et avoir un cheval ! En plus d’Hippo ! » Oh, beaucoup de demandes. Mais c’était pour égailler sa petite vie. Et voilà, elle avait eu ce qu’elle souhaitait.
Deux chevaux, dans le Centre Equestre du Beau Harnais, traduction française, bien entendu. Ah ! Oui, petite précision : elle vivait en Allemagne, en Bavière. Elle montait de façon pitoyable, autant l’avouer. Ses pieds étaient en canard, son regard sur le sol, et elle se retrouvait plus souvent sur le sol, qu’à poney. Mais qu’importe. Hippo devenait de plus en plus adorable et les deux compagnons d’enfance avaient crée un lien inaliénable. Son autre équidé, nommé Hurlck, était bien plus gentil. Le style très bien dressé. Elle l’aimait aussi, mais d’une toute autre façon. Elle l’aimait car il faisait ce qu’elle souhaitait. Bien entendu, elle le vendu 1 ans plus tard. Elle n’avait que d’amour pour Hippo.
La suite ?! Elle ne se souvenait pas, et n’avait pas particulièrement envie de se souvenir. C’est dix ans, l’avait marqué. Mais juste pour son nom devenu Isie. Rien d’autres après. Hippo restait Hippo. Elle restait elle.
Mais en équitation, elle évoluait. Comment expliquait que du stade « Terre » elle était passée au stade « Sur le Dos de l’équidé ». Sa vraie évolution, de façon fulgurante s’était déroulée alors qu’elle n’avait que 15 ans. Soit 1 an avant son entrée dans l’Ecole de Trainings Help.
Elle connaissait ce qu’il fallait sur les chevaux. Hippo en était le résultat : un petit poney attachant sympathique, plutôt doué en saut, bien dressé en dressage. En bref, Isie avait appris avec l’âge. Elle montait tous les jours Hippo, même si celui-ci devenait très petit pour elle. Elle avait 4 bonnes tailles de plus que lui. Un tel changement n’est pas négligeable. Elle montait donc des chevaux du centre équestre. Et l’année de ces 15 ans, elle s’épanouissait en amour, et donc en équitation. Elle était heureuse et elle travaillait tellement durement pour les chevaux. Elle avait rencontré rencontré celui qu’elle aimait. Du moins, qu’elle croyait d’aimer. Elle ne savait pas trop ce que c’était, mais elle était attirée par lui, d’une telle façon, que par déduction, elle s’était dit qu’elle l’aimait.
Isie participa à des concours, par la suite. Serait-elle devenue une assez bonne cavalière, au cours de tant d’années d’équitation ? Une chose est sûr, l'arrivée de la lettre de TH était une très agréable surprise, qui l'emplit d'une joie immense. Le sourire collait sur ses lèvres illuminait son visage.
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AUTRE CHOSE A NOUS DIRE ? :Elle est gentille Nisie ! | |
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