Maxime n. d. Andersen
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HUMEUR. : Deep .
PHRASE PERSO'. : Si les faits ne correspondent pas à la théorie, changez les faits.
Date d'inscription : 28/01/2009
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 | Sujet: HIGH - L'  Ven 6 Fév - 14:43 | |
| La magnifique dame grise tournai subitement la tête, ronflottant avec discrétion et peu d'énergie des naseaux . Le rêve venait du sommeil .. Ce que l'important cheval était en train d'expérimenter . Maxime secoua la tête d'un sourire, bombe sous le bras, prostré à cheval en sortant de sa rêvasserie . Le Couple approchait déjà de la barrière d'obstacle .. Ou au moins un personne était à cheval . Le cavalier se contenta de froncer les sourcils, sans rien dire, sans rien faire . Après tout, il fallait bien que Self Enough prenne un peu conscience du monde qui l'entourait . Le pas était très développé , d'un naturel précipité et pourtant poussant dans son dos . C'était bien rare pour la presque 4 printemps que l'équilibre le quitte . En général , elle baissait un peu la tête, rennes sur l'encolure mais ne partait pas sur les épaules, sachant très bien sa tendance à vite se ramasser sur elle même, seule, dans ces cas là . Une quatre années dégourdies, mais qui avait tendance à la maladresse ^^ . Pourtant, vous le verrez rapidement après, la précision faisait place à ce défaut dès que le cavalier commençait le travail et que l'entier - Jument se concentrait . Le jeune homme attrapa les rennes en fermant les mollets et poussant dans ses abdominaux . Sans pour autant tirer ou demander l'arrêt dans les lanières de cuir, donc, il se contenta de vérifier si les bases de la veille étaient restés .. Arrêts sans mains .. Bon , il est vrai que Enough avait toujours été nature pour écouter et répondre au poids du corps et au reste .
_ Sa vous dérange si je me joins à vous ?
La voix du British n'avait pas franchement surpris les gens, qui l'avaient vu arriver . Le garçon déposa sa bombe sur un piquet , signalant un peu de ce faites que ce n'était que par courtoisie qu'il demandait ça . Les carrières étaient à tout le monde . Lui même appliquait cette règle, alors se voir interdire l'accès des carrières lui serait très .. facteur de mise en colère . Et dieux seul sait que nos Pros préféraient avaient un sale, très sale caractère . Ce fut ainsi qu'il se pencha, décrochant le loquet, pour passer la silencieuse barrière . Ce n'était pas non plus un manque de respect, et Maxime s'était gardé d'entrée avec précipitation . Il avait vérifié que personne ne soit en galère sur son cheval pour laisser entrer l'époustofulante grise . Aujourd'hui, travail sur les bases .
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Daniel Tarek Dohersten
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| | Sujet: Re: HIGH - L' Dim 8 Fév - 21:27 | |
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L'irrésistible baie roula des yeux, ses orbitres devenaient fous sans que raison ne se fasse. Daniel, selle sur le bras s'approchait du corps longiligne de la ponette. Bien qu'elle soit courte sur jambes, Salammbô n'était pas trapue, loin de là. Son corps était bien proportionné, dos long, croupe rebondie et garrot mi-haut. Sur celui-ci le brun posa un tapis crème, la couleur qu'il affectionnait depuis sa subite sortie d'hibernation. Il posa un tapis en gel puis sa selle, ces gestes étaient quotidients et précis. Claquement de dents, nouveau fouaillement de queue : Sambô n'était pas d'humeur ! Leurs pas s'accordaient, la carrière était peut-être occupée mais peu importait, il était ici au même statut que les autres, élèves, professeurs ou professionnels. Un homme, que le cavalier ne détailla d'abord pas lui parrut opportun, la main posée sur la barrière qui s'ouvrait vers le sable objet de ses désirs.
< Laisses ouvert, s'il te plaît.
C'est d'un ton calme et posé que Daniel s'était adressé au cavalier qui le précédait. Étrangement, il avait retrouvé, depuis qu'il avait mis fin à son mutisme forcé une sympathie presque naturelle. La jument grise qui suivait le garçon était grande et semblait un peu... comment dire : lymphatique ? Certes il ne l'avait pas encore vue au travail. Le beau brun se surpris à croiser de son regard bleu un rayon de soleil, il était temps ! L'été semblait prématuré mais il venait, en fait, juste à point : l'hiver avait été rigoureux, il fallait l'avouer. La grise était déjà chevauchée tandis que la baie suivait au bras de son maître, pour le moment, la ponette paraissait sage et plutôt calme mais le français savait qu'elle cachait encore quelques chose. Pour éviter de penser négativement, il reporta son attention sur le printemps naissant. Il remarqua que pendant son exil, il avait loupé la venue des bourgeons et les premiers chants des oiseaux. D'un côté, c'était mieux ainsi, le garçon avait vu l'évolution d'un coup et ne passerait pas ses journées à scruter le moindre changement !
< Oh doucement, qu'est-ce qu'il te prend ?
Il s'adressa cette fois à sa jument, laquelle venait de se faire peur. Elle sautillait d'un sabot sur l'autre, portant au nombre de douze les traces dans le sable... Daniel retenait la barrière d'une main, facilitant la suite des opérations, c'est à dire la fermeture. L'emprunte de ses pas cotoyait celle des sabots de la canaille de baie qu'il accompagnait, le français l'arrêta à la voix, en un point où il ne gênerait ni les oxer, ni les verticaux, ni les croix. La place était de choix et d'ailleurs, unique... | |
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