AZTECQUES DE LA MUSE | A. HURJ

Citation :

NOM ENTIER DU CHEVAL : Aztecques de la Muse
NOM ENTIER DU PÈRE : Just Him de l’Azur
NOM ENTIER DE LA MÈRE : Envolée de la Muse
PAPIERS: OC
DATE DE NAISSANCE : 28 février 2003
AGE ACTUEL : 5ans
SEXE DE L'ÉQUIDÉ: Étalon
NUMERO DE PUCE: XPF 1456 923G
TAILLE: 1m61
SON CAVALIER: Antoine Hurj
VENDU AU PRIX DE : 5850 $

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SAUT D'OBSTACLE : 0
HUNTER : 0
CROSS : 0
DRESSAGE : 0
COURSE : 0
ATTELAGE : 0
PONY GAMES : 0
HORSE BALL: 0
POLO: 0
ENDURANCE: 0
WESTERN: 0
ÉTHOLOGIE : 0
SHOW & PRÉSENTATION & SPECTACLES : 0
SOINS : 0
MORALE : 0

Le cavalier et probablement sa monture profitait de ce temps, il faisait beau, un petit courant passait mais pas assez pour avoir froid et le jeune homme faisait confiance à sa monture même s'il était attentif tout le temps sans pour autant le montrer, il savait que s'agripper aux rênes pour que le cheval ne fasse pas l'imbécile était le meilleur moyen d'inquiéter son cheval et donc qu'il parte en vrille. Cependant, sa confiance ne suffit pas pour que lorsqu'un renard (probablement) passe sous ses pieds fasse que sa monture ne paniqua pas. Cette fois si ce n'était pas une envie de foutre son bordel qui prit le cheval, mais bel et bien de la surprise puisque immédiatement le cheval se cabra de toute sa hauteur avant de faire un demi tour et partir en détalant en retournant sur ses pas, les yeux sortants de la tête et les oreilles pivotant dans tout les sens de peur, pas de coup de cul, rien juste de la panique.

Maintenant parlons de la réaction du jeune homme, il faut dire qu'il a été aussi surpris que sa Pastèque de voir le renard passer sous ses pieds ou à quelques mètres, et si la réaction du cheval ne l'aurait pas étonné il fut surpris tout de même, le premier cabré fut impressionnant, lui il ne pu que se mettre sur ses pieds et prendre l'encolure dans ses bras en gardant les rênes très longues pour garder son équilibre mais surtout pour ne pas alourdir le cheval et le faire tomber. Ensuite, après un demi tour serré où Antoine ne pu remercier son assiette faite par des heures passée à cheval pour être resté dessus puis ensuite s'en suivit une course contre la peur, Antoine s'était mis en arrière et lui parlait :


" Laaaa mon brave laaaaaaaa "


Un ton calme, plus calme que lui même s'il n'avait pas le temps d'avoir peur, se mettre en arrière et faire des demis parades, cependant ce ne fut pas grâce à ses demis parades ou autre qu'il réussit à le remettre au pas mais bel et bien à sa voix qui semblait rassurer le cheval embarqué en l'écoutant. La galopade sembla durer des longues minutes pourtant en quelques secondes ce devait être finit ou peut-être en quelques petites minutes pas plus, mais le cheval avait eu le temps d'avoir peur. Antoine le remit sur le chemin dans l'autre sens au pas tandis qu'il lui parlait encore et sans tirer dans sa bouche le poussait avec ses jambes, il fallait le faire repasser là-bas au risque de ne plus pouvoir y aller plus tard. Il serrait ses jambes mais on pouvait entendre son cheval, seul bruit dans la forêt aurait-on envie de dire, respirer fort, prêt à repartir en sens inverse s'il le fallait tandis qu'Antoine lui parlait pour le calmer mais mettait ses jambes afin de le faire avancer, c'était car il était ferme que son cheval en confiance avancerait et non car il n'était pas rassuré. Ses oreilles étaient en avant, non pas par fierté mais prêt à entendre tous les bruits et à réagir au moindre mouvement. Arrivé à l'endroit qui faisait peur, endroit qu'Antoine plus tard nommera " l'Impasse du Renard " le cheval s'arrêta et se mit à reculer, gentiment mais fermement Antoine serra ses jambes pour le remettre en avant mais non, il reculait de plus en plus. Un petit coup de talon ferme n'eut pas plus d'effet alors Antoine qui regretta à ce moment là de ne pas avoir pris de cravache trouva le temps de prendre ses rênes dans la main gauche et les claqua sur l'épaules alors l'entier repartit en avant au trot mais au moins il avançait. Antoine le flatta et le remit au pas sachant bien qu'il n'était pas encore passé, lui il devait penser à se mettre en arrière bien que c'était toujours plus dur lorsque ça n'allait pas et à ne pas tirer dans sa bouche, de retour à l'endroit du renard, le cheval passa mais on voyait bien qu'il était stressé et inquiet, mais après avoir passé Antoine le flatta et l'arrêta. Pourquoi ? Car il allait le faire repasser là encore et encore pour qu'il n'ait plus peur, il fit donc marche arrière, le cheval toujours aussi inquiet mais il passait en regardant. Le flattant à nouveau il refit le passage cependant le cheval fit un petit écart mais les jambes ferme et la pression de mollets d'Antoine qui l'encourageait à avancer le convainquit qu'il n'y avait rien à craindre, ou presque.
Après, Antoine s'arrêta toujours à l'endroit qui fait peur et lui détendit les rênes, le cheval gigotait mais les caresses et les mots apaisants du jeune homme le calmèrent, il était jeune et un peu fougueux lorsqu'il pouvait jouer, mais c'était un jeune qui avait besoin de savoir qui commandait et d'être rassuré. Antoine lui donna le signal du départ à nouveau et repassa encore deux fois à cet endroit, la première fois fut rênes longues au pas et comme il n'eut pas peur il repassa encore une fois, rênes mi longues mais au tout petit trot. Comme il n'eut pas peur il le flatta et continua sa route, le cheval était mouillé pas de fatigue mais de stress, il continua donc à le faire marcher tranquillement. Il avait beau être mouillé ça ne suffisait pas pour lui enlever son envie de partir fort et de galoper en rodéo mais Antoine le gardait au pas avec son assiette et sa voix. Il arrivait même sur quelques mètre à le laisser rênes longues sans qu'il n'accélère, mais il le faisait sur une distance courte, pas qu'il se rende compte qu'il puisse accélérer et le caressait à chaque fois. On voyait le cheval marcher avec les oreilles qui bougeait dans tout les sens et on le sentait qu'il se portait, il était dans l'impulsion au moins...

Déjà on pouvait constater qu'ils étaient partit depuis une heure vingt, ça aurait déjà du être finit mais comme ils avaient pris du temps à l'Impasse du Renard et bien il était plus tard, tant pis, ce n'était pas grave. Finalement à la fin un long champ avec un petit chemin de terre, Antoine était sur son cheval qui était sage ou du moins pas complètement ingérable et qui avait séché.


" Et bien, tu l'as mérité, un petit galop, ça te tente... ? "


Sans attendre la réponse, qui n'allait pas venir de toute manière, Antoine pressa légèrement les flancs de son cheval qui réagit immédiatement en prenant le galop, pas franchement petit le galop mais bon, c'était de la voix et non de la méchanceté qui le faisait partir à fond. Antoine se mit alors en petite suspension, parfois certains galopent assis mais pas lui, lui c'était suspension oblige prêt à faire des pointes de vitesse. Il ralentit alors en premier le cheval tout en le gardant au galop, pour le ralentir il se mettait légèrement en arrière et lui parlait énormément en retenant un peu devant pour voir s'il l'écoutait, comme le cheval avait bien réagit alors il détendit un peu ses rênes et fit un appel de langue. Signal du départ forcément, le cheval alors se mit à allonger pour prendre un grand galop avec quelques coups de cul au passage, cependant Antoine ne sanctionnait pas la joie, il sanctionnait les bêtises et les sauts d’humeurs qui pouvaient rendre dangereux. Le galop fut court peut-être du à la vitesse ou à la longueur, mais celui qui aurait vu galoper demis parades aurait pu dire qu’il allongeait vraiment bien et semblait être à l’écoute puisqu’à la fin du galop Antoine n’eut pas de problème pour l’arrêter, même s’il lui fallait un peu de temps il s’arrêtait et c’était à force de s’entraîner qu’on y arrivait le mieux possible non ? En tout cas, il avait de belles allures et une arrière main puissante.

Après le galop le beau brun ( le cavalier quoi ) remit sa monture au pas, contrairement à ce qu’on aurait pu penser le cheval n’était pas franchement chaud, au contraire il semblait être ravi d’avoir galoper et calme même si on savait qu’il fallait toujours être prudent Antoine était ravi que ce soit un cheval comme ça, bien dans la tête qui après le galop ne chauffait pas, mais finalement, un cheval chauffait en général car le cheval s’accrochait à la bouche alors que là, malgré quelques petits couac par moment le jeune homme faisait son possible pour ne pas s’accrocher à la bouche du cheval.
Au pas, il le marchait tranquillement, rênes mi-longues toujours, vu qu’on voyait au loin l’écurie, son cavalier qui était sympa (ben ouai, jetons lui des fleurs parfois) descendit de cheval et dessangla sa monture et le prit par les rênes.


« Si je ne t’autorise pas à monter sur mon dos je vais faire la fin à côté, ainsi tu pourras sécher, mais pas de blague hein. »


Il était à côté donc demis parades et si le cheval n’eut pas peur ni ne fit des bonds, on pouvait voir qu’il était vraiment joueur car les yeux pétillants, les oreilles en avant il cherchait à se rapprocher et mettre sa tête partout pour mordiller, Antoine cependant lorsqu’il voyait qu’il allait se faire mordre lui disait un Non fort et ferme quitte à lui mettre parfois une petite claque lorsqu’il ne l’écoutait pas pour le remettre à sa place. Sans se vexer le cheval reculait un peu, reculer pour mieux bondir pourrait on dire, mais ce sera pour une autre fois car déjà le cheval et son propriétaire arrivaient à l’écurie, leur point de départ, la coure.

Arrivé là, Antoine passa le licol à son cheval et lui retira son filet, ensuite, attaché à un point d’attache il lui enleva la selle et fut ravi de voir qu’il était déjà presque sec, il sortit une friandise et lui en donna deux pour le féliciter de son calme et s’en occupa…

[Je détail pas le pansage vu que ça fait partie du pansage XD, et que j’ai vraiment mal aux doigts là.]