Jasper HAMILTON
PROFS *
Nombre de messages : 1878
PSEUDO. : Ispa
HUMEUR. : Espérance ^^
PHRASE PERSO'. : Mouahah, smile, Life is cool x)
Date d'inscription : 30/10/2008
YOU, MY FIRE HEART.
VOTRE CHEVAL .:
VOTRE PERSONNAGE.:
 | Sujet: Jasper HAMILTON & Bohemian FIZ  Jeu 12 Fév - 22:22 | |
| SAUT D'OBSTACLE : 0
HUNTER : 0
CROSS : 0
DRESSAGE : 0
COURSE : 0
ATTELAGE : 0
PONY GAMES : 0
HORSE BALL: 0
POLO: 0
ENDURANCE: 0
WESTERN: 0
ÉTHOLOGIE : 0
SHOW & PRÉSENTATION & SPECTACLES : 0
SOINS : 0
MORALE : 0
PODIUMS AU SEIN DU DOMAINE:
BOX DE BOHEMIAN FIZ | |
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Jasper HAMILTON
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| | Sujet: Re: Jasper HAMILTON & Bohemian FIZ Jeu 12 Fév - 23:00 | |
| « Très loin, au plus profond du secret de notre âme, un cheval caracole... un cheval, le cheval ! Symbole de force déferlante, de la puissance du mouvement, de l'action. »
Jasper Hamilton … Bohemian Fiz … Un couple improbable … Un homme et son cheval … Un garçon brun et sa jument grise … Deux camarades faits pour la compétition et la victoire … Enfin presque … !
« Bohemian ! Ramène-moi cette longe tout de suite. Toooooooooouuuuuuuuuuut de suiiiiiiiiiiiiiiiitteee »
Jasper courait après sa jument dans un grand pré vert. Cette dernière était tellement heureuse d’être au pré qu’elle lui avait chipé la longe alors qu’il allait partir. Surement voulait-elle passer quelques minutes avec son cavalier pour s’amuser. L’anglais lui donnait de l’amusement. Actuellement, il courait le plus vite possible pour la rattraper. La jument s’amusait comme une folle. Elle galopait, tournait la tête de temps en temps pour voir où se trouvait le beau brun, ralentissait légèrement et, dès qu’elle voyait Hamilton à quelques mètres d’elle, accélérait son amplitude et sa foulée, distançant son complice. On ne pouvait pas dire que ce dernier ne s’amusait pas. Fiz était tellement drôle et pleine de vie au pré qu’il était quasiment impossible de ne pas s’amuser avec elle. Mais pourtant, il devait le reconnaître, cette semaine avec la miss l’avait tué. Son corps était brisé par les courbatures et ses jambes avaient du mal à le porter. Savoir que le lendemain, après ce jogging forcé, il devait faire faire du dressage à sa dame grise le rendait malade. Il savait que le lendemain serait dur.
Mais revenons-en au début de cette histoire. Parce que bon, je parle, je parle mais, tout de même, il faut que vous compreniez quand même. Jasper avait passé une séance de dressage avec sa bête féroce qui n’était jamais de tout repos, surtout pour lui. Il savait que sa jument était du genre à être totalement morte. Mais quand même, elle pourrait bouger de temps en temps ses grosses fesses. Le beau brun savait que sa monture faisait des efforts pour se maintenir dans un bon niveau. Aussi, avait-il décidé de lui offrir une petite séance de repos au pré. Il lui passa un coup de brosse, la dame grise étant propre du matin. Il arriva vers le pré, sa jument marchant à allure normale jusqu’à ce qu’elle voit le pré. Sitôt vu, elle se mit à tirer sur sa longe, à pousser le jeune homme pour qu’il aille plus vite et l’amène plus loin encore. Pourtant, Jasper tempérait cette attitude si anormale de la part de Fiz. Ils arrivèrent devant le portail que l’anglais ouvrit d’un bras habile. Il coinça sa jument dos au pré pour qu’elle n’ait pas la mauvaise idée de le shooter. Lorsqu’il fut certain qu’elle ne pouvait rien lui faire, il détacha la longe et recula de deux bons pas. Les oreilles de sa monture frémirent, ses naseaux se dilatèrent, ses pupilles également. Après quelques secondes à avoir apprécié d’être enfin libérée de la longe, elle s’échappa en deux grandes foulées, bondissant en avant après un demi-tour sur ses postérieurs digne d’un cheval de dressage. Hamilton soupira et ne put s’empêcher d’admirer sa jument qui faisait de longues courses, ruait, faisait des sauts de moutons. Elle était réellement magnifique. L’anglais acheva de fermer le portail et sortit son livre de sa poche. Il partit s’installer près d’une des barrières, se réchauffant au contact de ce soleil timide annonciateur du début du printemps. Un frisson glissa le long de son échine tandis qu’il sentait son corps récupérer un peu de chaleur. Il l’eut durant une bonne vingtaine de minutes, entendant les sabots de Bohemian battre le sol en rythme et avec légèreté. Elle galopait vite de ce qu’il entendait mais il n’avait guère envie de lever les yeux de son box. Pourtant, la dame grise n’était pas du genre à offrir un peu de repos à son cavalier favori. En effet, elle subtilisa avec très peu de discrétion la longe et se mit à se pavaner devant Jasper ce qui entraîna la course poursuite dont je vous ai déjà parlé !
Pour terminer cette course fatigante, l’anglais fut obligé de ruser. Ainsi, il menaça de partir, stoppant sa poursuite. Sitôt fait, il sentit sa jument s’approcher dans son dos. Pourtant, le beau brun ignora superbement sa dame grise, continuant de marcher comme si de rien n’était. Il s’arrêta pour récupérer son livre et se dirigea vers le portail. Finalement, alors qu’il ne se trouvait plus qu’à un mètre du portail, il sentit un souffle chaud sur son cou. Tournant légèrement la tête, il vit les naseaux grisonnants de sa monture. Il se tourna doucement et lui flatta l’encolure avec tendresse, regardant avec satisfaction la longe tomber au sol. S’en suivit une interminable séance de gratouilles et autres câlinages que Bohemian exigeait souvent. Jasper n’étant pas avare de caresses, sa jument s’en trouvait bien fortunée. Il passa ainsi une bonne demi-heure avec elle, dans une séance de gratouilles et autres gestes d’affections. Puis, il décida qu’il était temps qu’il s’en aille et laissa sa jument dans le pré.
Jasper revint une heure plus tard, la longe à la main. Lorsqu’elle le vit, sa jument trottina vers lui, l’appelant de sa voix mélodieuse. Elle semblait encore plus séductrice que d’habitude, la queue panachée, l’allure aérienne, l’encolure arquée. L’anglais ne put s’empêcher de l’admirer et, lorsqu’elle le sortit de sa contemplation, il lui accrocha la longe à la boucle du licol avec un certain dépit. Il ne reverrait plus ce genre d’attitudes avant longtemps, il le savait. Pourtant, Jasper était sur qu’un jour ou l’autre, il réussirait à l’avoir comme ça sous la selle. A ce moment là, tous deux formeraient un couple quasi parfait et s’entendraient certainement encore plus à merveille qu’à présent. En attendant d’obtenir cette entente qui semblait hors d’atteinte pour l’instant, Jasper ramena sa jument dans son box et lui passa un bon coup de brosse principalement sur les membres. Il lui cura également les sabots avec soin et posa sur son dos une bonne couverture pour la nuit. Puis, après moultes câlins, le beau brun sortit de son box et rentra dans l’Académie, se préparant à la journée du lendemain qui serait certainement catastrophique.
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