MINERVA ( Lilly Violet ).

Admin Nombre de messages : 199 Date d'inscription : 05/10/2008

I / CARTE D'IDENTITÉ

NOM ENTIER DU CHEVAL :

NOM ENTIER DU PÈRE :

NOM ENTIER DE LA MÈRE :

PAPIERS:

DATE DE NAISSANCE :

AGE ACTUEL :

SEXE DE L'ÉQUIDÉ:

NUMERO DE PUCE:

TAILLE:

SON CAVALIER:

VENDU AU PRIX DE :

II / PSYCHOLOGIE

CARACTÈRE :

III / HIM / HER STORY -- CAPACITEES

HISTOIRE :

HISTOIRE DANS LE MONDE DES CONCOURS :

CAPACITÉS

IV / POINTS

SAUT D'OBSTACLE :

HUNTER :

CROSS :

DRESSAGE :

COURSE :

ATTELAGE :

PONY GAMES :

HORSE BALL:

POLO:

ENDURANCE:

WESTERN:

ÉTHOLOGIE :

SHOW & PRÉSENTATION & SPECTACLES :

SOINS :

MORALE :

PODIUMS AU SEIN DU DOMAINE:

23.12.2008

TWO DAYS BEFORE CHRISTMAS

On était déjà l'avant-veille du jour de Noël. Le lendemain au soir, tous les petits enfants iraient se coucher, le coeur plein de joie, attendant l'incroyable venue du Père Noël, cette idole idéaliste qui les fait tant rêver. Et le lendemain, ils seraient tôt debout, à regarder avec leurs petits yeux émerveillés les monticules de cadeaux empilés au pied du sapin, essayant de deviner ce que cet être féerique avait bien pu leur apporter parmi les milliers de cadeaux commandés. Happy face pour toute la famille, jouant le jeux pour faire rêver encore les jeunes esprits. Pour entretenir cette fascinante capacité qu'ont les enfants, à savoir celle d'être heureux quelles que soient les circonstances.
Telles étaient les pensées de Lilly lorsqu'elle attendait dans le froid glacial de l'écurie, aux alentours de 6h30 du matin le van qui amènerait sa nouvelle monture, une arrogante jument baie brune, lui avait-on dit. Il faisait au moins - 8°C dehors et, pour être franc, la cavalière se jelait le cul, assise sur un banc glacé. Elle, elle n'avait presque jamais eu droit à la magie de Noël. Ou tout du moins, elle n'en avait aucun souvenir. C'était triste, quand on y pensait ; ne pas avoir la chance de connaître un tel bonheur, une telle insouciance... A l'âge ou ses amis croyaient dur comme fer à la venue du bon vieux bonhomme rouge à barbe blanche, Lilly était déjà désillusionnée, ne désirant alors qu'une chose, avoir une vie banale, comme toutes les petites filles qu'elle connaissait. Avoir des parents unis, des réveillons en famille et de la magie dans chaque coin de la maison. Mais elle n'y avait jamais eu droit, ainsi va la vie. Elle avait, en revanche, les cadeaux les plus chers, les plus sophistiqués et les plus en vogue, vallant la jalousie des autres gamines. Mais le cadeau que la jeune fille avait toujours souhaité n'avait pas de prix...
Ceci-dit, aujourd'hui allait arriver un être nouveau dans sa vie ! Et cette pensée suffit à sortir Lilly de ses pensées pessimistes. Une sorte de cadeau, après tout. Et d'ailleurs, cela faisait plus de deux heures de la jeune cavalière l'attendant impatiemment, longeant de long en large les allées de l'école d'équitation. Elle avait sympathisé avec le veilleur de nuit, un viel homme d'âge d'or et d'un caractère bourru. Elle lui avait promis de ne pas commetre d'acte illégal, promesse qui avait permis au vieillard de replonger en paix dans ses rêveries, abandonnant son poste pour une petite sieste. Par la suite, Lilly n'avait cessé de s'activer : elle avait nettoyer de fond en comble le nouvel habitat de la jeune jument, avait graissé tout son matériel puis l'avait soigneusement rangé, avec sans doute un peu de maniaquerie sur les bords. Elle avait ensuite, bénévolement, balayé la cour de l'écurie puis avait été vérifier si tous les robinets automatiques fonctionnaient bien. Précausion qui s'étaient avérée inutile mais tout de même ; comme dirait le dicton < Mieux vaut prévenir que guérir >. En gros, la douce brune essayait par tous les moyens de se changer les idées. Elle ressentait un sentiment nouveau, quelque chose que jamais auparavant elle n'avait eu lieu de senir. L'impatience, ça devait être ça. Elle songeait sans arrêt à sa future monture et cherchait mille et une astuces pour se divertir l'esprit. Ceci-dit, après deux heures trente dans ce froid glacial, en plein milieu de la nuit, Lilly commençait à en avoir mal. Elle ne sentaitpls ses orteils, glacés à l'intérieur de ses boots. Elle avait sur elle un jean, un tee-shirt, un pull over et un manteau, un style de doudoune mais avec un effet moins balloné. Une grosse écharpe en laine, des gants et un bonnet enfoncé profondemment sur la tête, voilà comment était vétue Lilly par cette température hivernale. Elle fouilla dans les poches de son manteau et en sorti son I-pod. La musique avait toujours eu le don d'influencer son moral et son bien-être. Un bon morceau de rock devrait donc être capable de la réchauffer en deux temps trois mouvements ! A travers sa longue liste, son choix se porta sur Rich Girl du groupe The Virgins. Une chanson assez calme, dont les paroles la faisait rêver.

Elle dû encore attendre vingt bonnes mintes dans la brume matinale avant que le van nui daigne pointer le bout de son nez. Déjà sept heures du matin... L'apparition du véhicule eu l'effet de la lever instantanément de son siège qui commençait pourtant à se réchauffer. Elle attendit patiemment que le chauffeur se gare puis sorte du vieux camion jaunit. Après quelques politesses, Lilly lui demanda s'ils avaient fait bonne route. L'homme lui répondit que dans l'ensemble, la "Mazette" s'était tenue sage, à part aux environs de la troisième heure de route où il avait fallu qu'elle se dégourdisse vraiment les jambes. Mais après vingt minutes de liberté dans un manège d'un centre équestre sur le chemin, ils avaient pu reprendre leur trajet et étaient arrivés ici sans encombres. Mais, paraissait-il, depuis les dix dernières minutes, elle recommençait son cinéma. A ces mots, la jeune fille délaissa le chauffeur pour aller à l'arrière du van, ou elle laissa au viel homme le soin d'ouvrir la lourde porte. Malgré la pénombre de la nuit, elle put distinguer vaguement la silhouette de la jeune jument. Avec l'accord du conducteur, elle avança prudemment dans le van, jusqu'à se trouver à hauteur de l'encolure de l'équidé. Sur sa couverture, de couleur bleue, était gravé son nom : Minerva di Amor of Tais. En plus petit en dessous était inscrit Lilly Violet ; cette couverure était un cadeau de l'élevage, probablement. Et justement, Minerva la regardait, avec de grand yeux curieux et incrédules. Sa jeune propriétaire la caressa tendrement sur le chanfrein. Le licol, de couleur marron lui aussi, empêchait la jument de tourner convenablement la tête. Lilly remarqua qu'elle avait un bout du nez assez carré. Une superstition disait que les chevaux ayant cette particularité étaient de bons sauteurs...
mais pour approfondir un peu plus son évaluation, la cavalière fit descendre sa jument dans la douceur de l'endroit dans lequel elle était enfermée depuis bie trop longtemps. Minerva pointa ses oreilles bien droites, aux aguets, et scruta l'horizon, les naseaux dilatés. Lilly la rassura doucement, avec beaucoup de calme et de savoir faire. Si bien que la jument fini par se détendre. La jeune fille la massa calmement ; elle sentait les nerfs de la jeune monture assez tendus. C'était compréhensible, elle découvrait un monde tout nouveau pour elle. Quand elle la sentit plus à l'aise, elle avança de quelques pas. La jument hésita quelques secondes a la suivre, puis lui emboîta le pas. Et c'est dans la nuit noire que Minerva di Amor fit, pour la première fois, le tour de l'écurie. Lilly passa au moins vingt minutes à tout lui montrer, passant dans chaque recoin, étudiant avec attention les attitudes que prenait sa jument. Ainsi, elle remarqua qu'elle frémit lorsqu'elle regarda l'orée de la carrière ; elle vit aussi qu'elle accélera l'allure lorsqu'elles approchèrent de la grainerie (l'odorat est vraiment mal développé chez les humains !). Enfin au terme de ces vingt-quatre minutes, Lilly lui fit découvrir son boxe, son nouveau chez-elle que la jeune fille avait préparé avec tant de soins. La jument paru s'y sentir l'aise, au grand soulagement de sa propriétaire. Celle-ci se demanda d'ailleurs si elle ne pouvait pas lui ôter sa couverture... Elle avait envie de découvrir chaque veine, chaque muscle de sa monture. Mais il faisait froid, vraiment. Et ce que Lilly ne désirait vraiment pas, c'était que sa jument ne tombe malade... Elles restèrent encore ensemble dix bonnes minutes ; le tmps passait tellement vite ! Puis, songeant tout d'un coup à ce pauvre chauffeur, la jeune fille tourna les talons, après une énième caresse. Elle promit à sa protégée de revenir au plus tôt, histoie d'évaluer ses compétences en liberté, puis montée. Mais avant tout, elle avait des papiers à signer. C'est donc à reculons que la jeune propriétaire s'en retourna vers le van. Il était à présent huit heures, quelques cavaliers matinaux arrivaient. Elle les salua au passage. Puis elle alla voir ce Mr Borris qui avait eu ma gratitude de lui amener Minerva jusqu'ici en pleine forme : il fallait le remercier ! Et puis à présent, elle avait toute la vie devant elle pour profiter de sa jument. Qu'étaient deux malheureuses heures dans la vie d'un couple équestre ?!

24.12.2008

THE DAY BEFORE CHRISTMAS

Ca y est, nous y étions ; le 24 décembre, le jour sacré des petits gosses, le jour des cadeaux par milliers, le jour où toute la magie de Noël prenait son ampleur. Lilly marchait le long de l'avenue qui la menait à l'écurie. Il faisait déjà moins froid qu'hier, et c'était tant mieux. Après avoir réglé les papiers avec le brave conducteur, la jeune fille n'avait eu le temps de revenir voir sa jument. Elle avait attendu toute la nuit, presque sans dormir, ce qui lui vallait des cernes monstres sous ses yeux sombres. Elle avait hésité à arriver en plein milieu de la nuit mais avait finalement décliné l'idée, de peur que les membres du staff de l'Académie ne soient alertés. Parce que bien, sûr, elle doutait que se ballader en pleine nuit dans les allées de l'écurie ne soit autorisé par le réglement...
Aujourd'hui elle était vétue de son pantalon d'équitation ; elle ne savait pas encore si elle allait monter Minerva mais mieux vallait prendre ses précausions. Il aurait été bête qu'elle se retrouve à monter en jean. Surtout que, d'après les papiers qu'elle avait pu lire sur elle, dans la soirée, la belle baie était du genre à tester ses cavaliers lors des premières approches. Hors, tout le monde sait que la matière jean glisse terriblement sur une selle.
Arrivée au portail des écuries, Lilly rangea son portable et son I-pod dans le sac qu'elle avait amené avec elle. Elle fila aux vestiaires et le rangea dans son casier, puis ferma le cadena à clefs. Elle fila ensuite en direction des écuries, saluant deux trois amis au passage. Le box de Minerva était au fond de l'allée, proche de la sellerie toutefois. La cavalière remarqua sa jument de loin et la regarda, la coeur tout attendrit. Elle était si belle... Ne regardant pas dans la direction de sa propriétaire, la jument s'occupait plutôt de deux pigeons roucoulant dans la cour de l'écurie. Elle avait les oreilles bien droites et son regard vif et curieux posé sur les deux volatiles. Son encolure était fierement arcquée, donnant alors une silhouette gracieuse et svelte. Ses naseaux étaient tout autant dilatés qu'hier. Lilly en conclu que s'était donc dans la nature de la belle Trotteuse. Elle s'approcha doucement, jusqu'à ce que la jument tourne sa tête d'ange vers elle. Elle s'arrêta alors et la regarda avec attention. Minerva fit de même, inclinant légeremenent sa tête vers le côté droit, lui donnant un air absolument chou. Ne poyvant résister à la tentation, Lilly s'approcha et lui plaqua un gros baiser sur les naseaux. Puis elle lui caressa doucement la joue, tout en lui chuchotant des mots sans réelle signification. Seul le ton importait. Puis, elle ouvrit délicatement la porte de son box et pénétra à l'intérieur, refermant soigneusement derrière elle. Minnie, car tel allait être son surnom désormais, avait encore sa couverture, à présent couverte de brins de paille. Lily s'approcha doucement d'elle et commença à ôter les sangles de devant. Puis elle enleva celles entourées autour des postérieurs. En dernier, elle détacha celles placées sous le ventre de la belle baie. Elle fit ensuite délicatemment glisser la couverture et alla la poser dans un coin. Pendant ce temps, Minerva n'avait pas bougé d'un poil, observant ses moindres gestes avec une attention toute particulière. Sa jeune propriétaire put alors observer l'ampleur de la splendeur présentée à ses yeux. C'était bien simple, sa jument était taillée aux proportions idéales pour la cavalière. Elle mesurait aux environs d'un mètre soixante-cinq. Ses membres fins laissaient toutefois apercevoir des muscles saillants là où il le fallait. Sa croupe était parfaitement moulée, on y sentait la masse de muscles impressionnante, quoique tout en finesse. Son ventre ne pendait pas ; il était bien lisse, sans être trop creux. Elle avait un dos relativement rond, qui laissait malgré tout bien voir sa colonne véterbrale, assez présente. Les scéances à cru promettaient d'être hard... Ses sabots étaient parfaitement limés, d'une noirceur de jaie. La lignée de son encolure avec son poitrail, massif lui aussi, se faisait à merveille. Quand à son garrot, il ne comportait aucune blessure ou aucune sicatrice. Ses crins étaient parfaitement lisses. Si Minnie n'avait pas été un équidé, Lilly aurait juré qu'il y avait de la laque dessus, renvoyant cet effet de luminosité à en tomber à la renverse. Quelle merveille, quelle splendeur ! La jeune propriétaire n'allait pas se lasser de regarder la belle baie brune...
Mais avant tout, il fallait la panser. Un bref coup suffirait, était donné la propreté presque idéaliste de Minerva. Lilly s'empara du licol accroché à la porte du box de la jument et le lui mit. Pendant sa contemplation béate, la superbe monture n'avait pas bougé, se sentait probablement observée, à son grand plaisir. A présent elle reprenait du mouvement, suivant sa maîtresse à la porte de son habitat. Celle-ci lui enfila le licol avec adresse et y clipsa la longe. Puis elle attacha sa jument à un anneau du boxe, laissant toutefois la longe assez longue. Puis elle se dirigea vers la sellerie, où elle prit tout son matériel nécessaire au pansage, dans son casier. Elle passa un rapide coup de bouchon sur la robe de la jument, ômettant l'étrille pour cause de poils trop courts. Puis elle lui cura soigneusement les sabots. Minnie les donna sans soucis, anticipant même l'attente de sa cavalière. Ainsi, Lilly pu remarquer que la jument gardait son pied levé tant que sa propriétaire ne lui avait pas signifié de le rabaisser. Comme tout se déroulait bien, la jeune fille accorda une friandise à sa jument, qui la mangea délicatement, avec la classe qu'ont ces dames de salon. On sentait que la demoiselle aimait s'apprêter... Après un coup rapide et inutile dans les crins parfaitement lissés de la jument, la brunette parti ranger tout son matériel. Minnie ne mangeait pas, elle regardait tous ses allées-retours avec interêt, essayant de comprendre toutes les demandes de sa prorpiétaire. Bon, elle était volontaire. Quand Lilly revint avec le matériel de monte, elle se demanda comment aller se montrer la belle jument. Si au boxe, elle avait été superbe, sa maîtresse se demandait à quoi s'attendre quand au travail. Elle lui ferait surement son petit numéro, mais à quel degré de danger était il ? Lilly chassa bien vite ces pensées de sa tête ; elle posa délictement le tapis sur l'encolure de sa jument, puis le fit glisser. Elle ajouta par dessus un amortisseur en mouton et une selle. Minerva la regardait, sans présenter le moindre signe d'agressivité. Bien au contraire, elle semblait préssée de partir ! Lilly sangla et pu constater que la baie n'avait aucun vice comportemental au sanglage. Elle lui mit ensuite le filet, la jument ouvrant immédiatement sa bouche. Après avoir attaché la muserolle et la sous-gorge, elle lui enfila rapidemment des guêtres fermées et des protège-boulets, fermés eux aussi. Voilà, elle était prête ! Elle alla chercher dans ses affaires sa grande longe et la passa dans les anneaux du mors, ainsi que par dessus la tête de sa protégée. Quand elle fut bien mis en place, Lilly sorti sa jument du boxe et la dirigea vers l'une des carrières, chopant sa bombe et son stick de Dressage au passage. L'heure de l'évaluation avait sonnée !

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