Isie von Duschl-Tolkonovich

DOSSIER DE Isie

I / CARTE D'IDENTITÉ ..

NOM DE FAMILLE : von Duschl-Tolkonovich
Isie a vu le jour, dans une famille que l’on peut qualifié de très aisée. Ses parents s’étaient mariés par convention, et avait ainsi partagé leur richesse personnelle. Et ils étaient tout deux, très riches. Florian von Duschl était propriétaire d’une grande industrie automobile.
Sa mère, Avdotya Tolkonovich , vient de la très haute bourgeoisie. Toute sa fortune est l’héritage d’une haute lignée de la royauté de Russie. Autant dire qu’Isie est d’une très bonne famille !

PRÉNOM : Iise-Katarina-Appollinaryia-Anastasyia
Un nom bien compliqué ! Ce prénom à rallonge n’a jamais plu à la demoiselle. En secret, elle se nomma Isie vers l’âge de 10 ans. Sa famille continuait de la nommer par son prénom de naissance, mais la jeune fille s’habituait à son nouveau prénom. Autant dire, que dès son plus jeune âge, elle semblait en contradiction avec son entourage qu’elle qualifiait de bien trop « Joli monde à paillette, cache hideux monde à folie ». Cependant, elle reste très attachée à son prénom initial. Il signifie beaucoup de son caractère.
« Douceur et volupté entoure le prénom d’Iise. Toute en fragilité, ce prénom émane un certain charme. »
« Provenant de la Grèce Antique, Katarina était la femme de l’homme. Séduisante et charnelle, ses atouts les plus terribles étaient cachés derrière une douce robe sensuelle. Autant dire, que le prénom Katarina appartient souvent aux femmes de caractère, ayant le plaisir d’embobiner et de séduire quiconque l’approche. » Le prénom Katarina ne correspond pas très bien à Isie. Cependant, il est vrai qu’elle est séduisante, et elle a un caractère assez important !
« Appollinaryia vient de Appollinaris et d’Appolon. Brillante comme l’aurore, elle saura vous faire part avec délicatesse de ces idées et inventions. Elle est royale, et elle est charmante. Elle éclaire les gens avec douceur et sympathie. »
« Anastasyia est timide et réservée. Cependant, son prénom est lumineux, et l’on est naturellement attirée par elle. »
Enfin bref, Isie affectionne ses prénoms, mais ne souhaite pas se faire nommer ainsi. Le prénom qu’elle aime le plus est Anastasyia. Il arrivera parfois, qu’elle souhaite qu’on la nomme ainsi.

AGE : Isie a 16 ans.
DATE ET VILLE DE NAISSANCE : Isie est née en Russie, à Berezniki, le 4 décembre 1992.
NATIONALITÉ :Isie est de nationalité Germano-Russe. Elle est autant Russe qu’Allemande, mais a une légère préférence pour le pays où elle est née.

II / PSYCHOLOGIE ..

CARACTÈRE :

Ah ! Isie ce n’est pas la simplicité même. Autant le préciser tout de suite, elle est compliquée. Pas compliquée dans le sens, qu’elle s’invente des problèmes là où il n’y en a pas. Non, elle est réellement compliquée. Complexe, plutôt.
Dès son plus jeune âge, elle eu besoin de se définir autrement. Au lieu d’aller à droite comme tout le monde, elle allait à gauche, passait par des raccourcis, par des chemins très longs, pour arriver au même point que les autres. Mais avec 1 journée de retard ! Oui, la simplicité ce n’est pas trop son affaire. Mais elle ne le fait pas exprès.
Ce qui qualifie très bien Isie, c’est le fait, qu’elle soit attirante, mais ne joue pas de cela. Elle laisse les gens venir. Parfois elle vient d’elle-même. Mais elle n’est pas du style à essayer de se faire des amis. Non, elle laisse les choses venir comme elles sont. Disons, que si, elle sent que ça ne marchera pas, entre elle et quelqu’un, elle n’essayera pas d’en faire plus. Mais si elle sent qu’il y a « quelque chose », elle fera tout pour préserver la personne. Elle sera même un petit peu possessive, ce qui peut-être néfaste à la relation. D’un naturel timide, il sera rare, qu’elle parle comme une pipelette. Elle aura plutôt tendance à laisser parler la personne, et à sourire. En bref, il est dur de la cerner. Elle est tellement discrète, que pour découvrir sa façon d’être, faut s’accrocher ! Parce que ce n’est pas facile d’essayer de trouver la personnalité de quelqu’un, si ce quelqu’un est réservée. Pourtant, Isie dégage beaucoup de gentillesse et de sympathie. Elle attire naturellement les gens. Puis, elle a un tel charme ! Comment ne pas apprécier une fille, si charmante et séduisante ?!
Mais la demoiselle, elle est loin d’être parfaite. Enfaîte, son pire défaut est qu’elle peut être très hautaine et très méprisante. Quand on lui dit quelque chose qui la vexe, au lieu de montrer son désarroi et éventuellement son énervement, elle se contentera de vous sourire, ironiquement, avec un regard assassin, et un tel côté hautain. Horrible comme attitude ! Alors, si j'étais-vous, j’essayerai d’éviter de trop la chercher ! Elle peut être monstrueusement méchante. Pas par ces paroles (quoique parfois elle est assassine !) , mais par son attitude. Elle provient d’une famille de noble, n’oubliez-pas ! Elle n’a pas souvent l’habitude qu’on lui refuse quoique ce soit. Bon, pour le reste de son caractère, à vous de le trouver. Retenez juste qu’elle est gentille, et serviable, avec les gens qu’elles ne méprisent pas !

Question relations sentimentales, Isie elle ne connaît pas trop. Déjà, quand on a deux parents, qui ne se parlent pas, sauf pour affaires financières et qui ne partagent rien, il est dur de développer de l’amour. Déjà parce qu’elle n’en a pas reçu et qu’elle n’en a jamais vu ! Là seul fois, où l’on peut dire qu’elle a aimé, c’était avec les chevaux. Elle n’avait qu’eux. Et en partir grâce aux équidés, elle a pu « Tomber amoureuse ». Entre guillemet, car Isie ne comprenait pas très bien, pourquoi elle était attirée par ce garçon. Elle ne savait donc pas réagir face à lui. Ce garçon était un plus exactement un jeune homme. Lorsqu’elle était en seconde. Le genre de « gars » très populaire, mais qui arrive à tomber sous le charme de jeunes filles bien inoffensives et bien naïves. Ils n’étaient pas sortis ensemble. Mais tout le monde le croyait. Disons, qu’ils étaient proches et distants à la fois. Ils ne s’étaient embrassés qu’une fois, dans un jardin public. Une chose si importante pour Isie. Elle ne pouvait pas l’oublier. Elle n’eut pas d’autres relations.

DESCRIPTION PHYSIQUE :

Comment expliquait le physique d’Isie ? Elle est jolie, peut-être même belle. Mais ce qui la définit le plus, c’est son charme. Elle n’est pas extraordinaire, mais elle dégage un réel charme. Un charme envoûtant. Un charme lumineux. Elle est un peu le stéréotype de la Russe-Allemande. Elle possède un visage bien structuré. Les traits fins, elle a un teint très blanchâtre. Sauf en été, où son visage prend des teintes rosés, et cuivrés. Sa tête est encadrée de longs cheveux blonds. Ah ! Ses cheveux blonds. Ils sont le résultat d’une union blonde et rousse. Ses cheveux sont ondulés, sans exagération, et d’une couleur fascinante. Elle possède de beaux reflets roux, sur des chevaux blonds couleurs blés. Au soleil, ils brillent de milles feux. Mais ce qui accompagne parfaitement ses cheveux, sont ses yeux. Comment ne pas être envoûté par des yeux pareils ? Un bleu azur, qui les jours de pluies, virent dans un bleu grisonnant et les jours de soleil, vers un bleu féerique. Ses yeux sont sa richesse. Ils sont les seuls à pouvoir montrer une infime de sa personnalité. Ils sont expressifs. Pourtant ce ne sont que des yeux bleus, bien banales, mais ils sont si beaux, que l’on peut facilement les observer pendant des heures.
Question physique, Isie n’a pas rencontré la fée de la poitrine. Il faut avouer, qu’elle n’est pas exactement comme les filles d’aujourd’hui, grande à grosse poitrine. Elle a une jolie petite poitrine et elle est assez petite. 1m65 à peu près. Elle est svelte. Mais que dire de plus ?!

QUALITÉS ET DÉFAUTS :
Isie est serviable, et gentille. Elle porte en son cœur la sympathie que l’on lui donne et sait la rendre. Plutôt discrète, elle n’en reste pas moins intéressante. Elle peut être joviale, mais pas grande pipelette. Oui, ces qualités ne sont pas toutes visibles ! Elle est agréable, un peu discrète, mais douce et souriante. Oui, elle n’est pas non plus parfaite. Qui l’est ?
Il est vrai que ces défauts sont plus nombreux que ces qualités. En premier tant, c’est une grande possessive. Autant, elle arrive à se détacher des gens, très rapidement, mais elle reste très accrochée à ceux qu’elle aime ! Et la possession ne peut entraîner que de la jalousie ! Elle est très, mais alors très jalouse. Elle ne supporte pas la concurrence, mais une chose est sûr : jamais elle ne le montrera ! Elle a trop d’estime ! Cela lui parait inconcevable de montrer ce que l’on pense des gens. Elle ne dit rien non plus, mais n’en pense pas moins !

YOUR SELF ..

PRÉNOM ET PSEUDO : Manon et Fresh Flower !
MONTES-TU A CHEVAL ? : Oui ! (L)
GALOP OU DIPLÔME : Galop 4 (avance sur le 5 à grandes foulées)
AGE : 14 ans
SUGGESTION SUR LE FORUM ? : Aucune
OU AS-TU CONNU LE FORUM ? : Par MYH
TU ETAIS DANS UNE ANCIENNE VERSION ? SI OUI QUI ETAIS TU ? : Non
AVATAR : Kristen Dunst
MULTIPLE COMPTE ? Aucun
CODE : TH 28
QUEL GRADE PENSES-TU AVOIR ? : Je ne sais pas

III / YOUR STORY ..

LIEN DE FAMILLE DANS LE RPG ?


LIEN DE FAMILLE EN GÉNÉRAL :Isie n'entretient pas d'excellent rapport avec ses parents. Autant dire, qu'elle ne les aime pas du tout.

HISTOIRE :


« Iise-Katarina-Appollinaryia-Anastasyia ! Kommen Sie » Il fallait toujours qu’ils empêchent un moindre moment de bonheurs. Ils devaient vous rappeler à quel point vous étiez soumise et négligée. Isie descendit en tout hâte les escaliers. Elle se devait d’être là. Mais son rôle était inutile. Il suffisait d’un sourire, quelques compliments, et sa présence n’était plus de rigueur. La transparence. Habillée dans une jolie robe, de taffetas et de soie, un collier discret, mais fort beau, elle s’approcha la tête haute, le sourire aux lèvres. Après un hochement de tête, en signe de salutations, elle s’approcha de sa mère. Celle-ci la prit par la taille, d’un bras, et afficha le plus radieux, mais hypocrite de ces sourires. Elle s’inventait une relation mère-fille inébranlable. Mais Isie savait bien que tout cela n’était que de la comédie. Sa mère n’était même pas là pour ses anniversaires. Sa mère n’avait même pas la bonté de lui prendre une nourrisse. Isie était seule, mais elle préférait cette situation à celle que vivait certaines de ses amies. Au moins, elle avait ce qu’elle voulait. Quand elle s’exclamait « Je veux », elle avait. Une fois la séance de « Je vous plais Madame et Monsieur ?! », Isie monta à l’étage. Rien dans sa chambre ne lui rappelait son enfance. Sa toute petite enfance. Pas même une peluche. Ah ! S’il y avait ce petit assortiment rose, très classieux. Pour bébé de la haute bourgeoisie, voyons ! Un bébé, même moche, se doit d’être classe. C’était le cas d’Isie. Sauf qu’elle était, à sa naissance, particulièrement jolie. Elle sortit la petite tunique rose, de son enfance, et s’allongea sur son lit. Que c’était-il donc passé ? Rien à ses souvenirs. Pleins à ceux de son père et de sa mère. Et les deux intéressés, y réfléchissaient longuement…

Pourquoi c’étaient-ils mariés ? Par convention et complaisance ? Oui, hélas. Il est vrai qu’on ne choisit pas toujours sa femme ou son mari. Ni sa famille. Ils n’avaient que leur richesse en commun. Mais rien ne les rassemblaient ! L’un était sérieux et appliqué. L’autre était rêveuse et passionnée. Mais sans leur accord, ils s’étaient mariés. Et quelques années plus tard, sans amour, mais pour la succession et pour leur image, ils avaient eu un enfant. Il fallait montrer aux autres, qu’ils étaient unis. Un enfant en était l’exemple. Seulement, un enfant s’est mieux quand on s’aime. Car quand il n’y a pas d’amour, il n’y a rien du tout.
Advotyia repensait chaque jour à la naissance de sa fille. Comment avaient-ils pu ? Elle était allongée, le regard vide d’expressions. Elle se demandait, si cette enfant, changerait la relation avec son mari. Mais il fallait se l’avouer. Ces rêves de Prince Charmant et de beaux chevaliers s’étaient envolés en éclat. Et tout cela par Convention. Elle tourna la tête sur le côté, les larmes lui montaient aux yeux. Elle ne voulait pas de cet enfant. Non, elle n’en voulait pas ! Elle n’avait juste pas le choix. Et le moment, où cette enfant sorti de son ventre, la déchirant de douleurs, elle n’avait plus d’échappatoires.

« Voulez-vous porter l’enfant ? C’est une adorable petite fille ! » Advotyia observa le médecin, les larmes ruisselant sur son visage et cria :
« NON ! NON ! » Elle se retourna. Jamais elle n’arriverait à aimer cette enfant. Et c’était encore le cas maintenant.
De son côté, Florian Von Dushl n’était pas perturbé par Isis. Il fallait l’avouer, il s’en fichait. Ce n’était que pour l’image. Rien de plus. Il trompait sa « Femme », était heureux ainsi et en prime avait beaucoup d’argents. En bref, de quoi survenir en cas de problèmes. Alors sa petite fille, cela l’importait peu. Elle n’était pas là pour l’union, mais pour « La fausse famille ».

Autant dire, qu’avec des parents qui ne se parlaient que pour les finances et encore, Isie eut bien dû mal à grandir. Elle n’avait personne. Pas même un animal. Elle avait ses livres, c’était déjà une grande avancée. Mais la seule personne qui l’intéressait un petit peu, était le jardinier. Un homme fort gentil. Dès son plus jeune âge, elle venait le voir, dans sa petite robe de princesse et l’observait. Elle lui souriait chaleureusement. Mais elle ne l’aimait pas, car elle ne savait pas ce que c’était qu’aimer. Mais ce vieux monsieur lui avait inculqué la passion des animaux. Et se fut à l’âge de 5 ans, qu’elle découvrit l’amour de sa vie : Hippo.

Elle jeta la petite tunique rose, ses passés si merveilleux remontant à ses yeux. Ah! Hippo. Il lui avait tellement appris. Il lui avait appris l’amour, l’amitié, tout. Tout ce que ses parents avaient négligé ! Elle se rappelait de sa rencontre avec lui, comme si c’était hier. Elle avançait doucement, dans sa belle de princesse, le jardinier amusait de voir une petite fée dans la boue, entouré de grandes bêtes. Elle s’était tout de suite approché de ce petit poney, à l’époque 5 têtes de plus qu’elle. Elle le trouvait si beau ! Il était adorable, mais bien mauvais caractère. Comme par amusement, il s’était mis à courir, enfin à galoper, et s’amusait à promener la fillette, qui le suivait, les bras tendus en avant.
« Maudit Canasson ! » Voilà, ce qu’avait dit le jardinier. Isie c’était alors retourné, et se mit à rire, d’un rire que jamais elle n’avait pu avoir le loisir de libérer. Un rire s’y frais, s’y beau ! Et quelques années plus tard, elle chevauchait la bête de son enfance. Il n’avait plus que 4 têtes de plus ! Elle avait 6 ans. Et hélas, se fut la pire année de sa vie.

Elle stoppa nette ces pensées sur l’âge de 6 ans. Elle fouilla sous son lit et sortit une petite cassette. Elle avait une télévision et un magnétoscope dans son petit monde, bien petit, accompagné d’un lit ! Elle mit la vidéo en marche. C’était une vidéo bien amusante. Elle galopait sur Hippo, petit poney bien capricieux. Son sourire illuminait son visage, d’habitude terne et fermé. Elle était heureuse. Vraiment. Cette insouciance, cette liberté ! Mais très vite la vidéo se coupa, affichant un écran noir. Petite poupée soumise.

Elle se leva, lançant le costume ridicule rose contre la télévision. Marre de ne pas se rappeler avec certitude de son enfance. Elle se souvenait un petit peu de ses 7 ans. Ah ! Oui, l’inscription à son premier centre équestre. Elle l’avait choisi. Première dans sa vie. Choisir ! Elle se rappelait du petit « Je veux monter à cheval, dans un centre équestre et avoir un cheval ! En plus d’Hippo ! » Oh, beaucoup de demandes. Mais c’était pour égailler sa petite vie. Et voilà, elle avait eu ce qu’elle souhaitait.

Deux chevaux, dans le Centre Equestre du Beau Harnais, traduction française, bien entendu. Ah ! Oui, petite précision : elle vivait en Allemagne, en Bavière. Elle montait de façon pitoyable, autant l’avouer. Ses pieds étaient en canard, son regard sur le sol, et elle se retrouvait plus souvent sur le sol, qu’à poney. Mais qu’importe. Hippo devenait de plus en plus adorable et les deux compagnons d’enfance avaient crée un lien inaliénable. Son autre équidé, nommé Hurlck, était bien plus gentil. Le style très bien dressé. Elle l’aimait aussi, mais d’une toute autre façon. Elle l’aimait car il faisait ce qu’elle souhaitait. Bien entendu, elle le vendu 1 ans plus tard. Elle n’avait que d’amour pour Hippo.

La suite ?! Elle ne se souvenait pas, et n’avait pas particulièrement envie de se souvenir. C’est dix ans, l’avait marqué. Mais juste pour son nom devenu Isie. Rien d’autres après. Hippo restait Hippo. Elle restait elle.
Mais en équitation, elle évoluait. Comment expliquait que du stade « Terre » elle était passée au stade « Sur le Dos de l’équidé ». Sa vraie évolution, de façon fulgurante s’était déroulée alors qu’elle n’avait que 15 ans. Soit 1 an avant son entrée dans l’Ecole de Trainings Help.
Elle connaissait ce qu’il fallait sur les chevaux. Hippo en était le résultat : un petit poney attachant sympathique, plutôt doué en saut, bien dressé en dressage. En bref, Isie avait appris avec l’âge. Elle montait tous les jours Hippo, même si celui-ci devenait très petit pour elle. Elle avait 4 bonnes tailles de plus que lui. Un tel changement n’est pas négligeable. Elle montait donc des chevaux du centre équestre. Et l’année de ces 15 ans, elle s’épanouissait en amour, et donc en équitation. Elle était heureuse et elle travaillait tellement durement pour les chevaux. Elle avait rencontré rencontré celui qu’elle aimait. Du moins, qu’elle croyait d’aimer. Elle ne savait pas trop ce que c’était, mais elle était attirée par lui, d’une telle façon, que par déduction, elle s’était dit qu’elle l’aimait.
Isie participa à des concours, par la suite. Serait-elle devenue une assez bonne cavalière, au cours de tant d’années d’équitation ? Une chose est sûr, l'arrivée de la lettre de TH était une très agréable surprise, qui l'emplit d'une joie immense. Le sourire collait sur ses lèvres illuminait son visage.

*Crois en mon honnêteté*
Hum...Je cause un sacré problème. MuhMuh....Si vous voulez je vous crée un présentation de garçon, pour me faire pardonner!

Merci! Je me dépêche de rédiger mon texte d'évaluation!

Welcome !
Pour une fois que ce n'est pas un mec qui vient nous faire concurrence ...
Mdr
Bon, en espérant que tu t'amuseras bien =)

Bon, voilà mon texte. Je n'ai pas trop le temps de rester, je pars faire le téléthon à la danse --'! *Qui va se tuer les pieds avec les pointes?! C'est Titine*

Dresser un cheval, c’est avant tout, rechercher la pureté et la précision de ses allures. Mais avant un dressage complet, mieux vaut s’attarder sur la perfection.
Isie ne dressait pas encore d’équidés. Cependant, elle avait appris à étudier de façons pointilleuses. Depuis un certain temps, elle décidait d’évoluer seule en compagnie d’un hongre de sept ans, Natif. Sa robe était d’un noir de jet, ténébreux, mais aux reflets brillants. Elle cherchait, en ce cheval, des allures qu’elle ne trouvait pas avec les autres. Il est vrai que ce bel hongre avait un port de tête et des allures, gracieuses et harmonieuses. Entrant doucement dans le manège, elle se plaça au centre. Natif semblait impatient. Il secouait la tête nerveusement, ses crins voletant dans les airs, et retombant avec douceur sur son encolure musclée. La jeune fille murmura quelques paroles rassurantes. Etait-ce pour le cheval ou pour elle-même ? Réglant la sangle, elle descendit l’étrier de gauche, et après s’être hissée gracieusement, et sans lourdeur sur l’hongre, elle entama le réglage des étriers et de la sangle. Natif sentant le poids de sa cavalière sur son dos, se plaça automatiquement et se calma.
Isie était inquiète. Elle n’en savait pas la raison. Etait-ce la pression qu’elle se mettait vis-à-vis de cette séance ou simplement l’anticipation d’une chute ou autres accidents ? Elle ne savait pas. Mais elle était anxieuse. Une fois ces ajustements faits, elle fit une petite pression de ses mollets, tout en redressant la tête. L’hongre partit au pas. C’était un pas doux et agréable. Isie profita de ce moment de tranquillité, pour se positionner correctement. Elle descendu ces talons vers le bas, la pointe du pied sur l’étrier. Puis elle se mit droite, se penchant très légèrement vers l’arrière, mais les épaules dirigeaient vers le côté où elle allait incurver son cheval. C’est-à-dire le côté droit, étant donné qu’elle était piste à main droite. Mais avant tout, elle dirigea son regard au loin. Après une rectification de sa position, elle entama celle de son cheval. Relâchant ses mains, elle sentit la pression de Natif s’envolait. Ses membres décontractés, il se plaça par automatisme, et compris que son pas devait être régulier, mais énergique. Isie put ainsi entamer le travail d’incurvation au pas. Les épaules relaxées et basses, et la tête dans le prolongement de la nuque et du buste, elle tourna son regard vers le centre d’un cercle inexistant pour le moment. Sentant que sa cavalière penchait le poids de son corps vers la droite, et après petite pression de la jambe intérieur, Natif se fléchit vers l’intérieur du cercle, prenant une courbure de la tête à la queue. « Le Bout du Nez à l’intérieur », il épousait harmonieusement la courbe du cercle. Isie ouvrit ses doigts, pour récompenser en quelques sortes le cheval. Il gardait parfaitement sa position, et on pouvait voir que la jeune fille suivait de façon précise chaque mouvement de son cheval. L’incurvation réussit, elle referma ses doigts sur les rênes, pour « être sur la main », et fit une petite pression des mollets. Natif releva ses oreilles au loin, gardant sa position quasi idéale, et projeta son corps vers l’avant, partant ainsi dans un trot léger et aérien. Maintenant, il fallait réguler le trot de sa monture. Isie avait les mains naturellement près du corps, mais vers le bas. Pour laisser à son cheval une certaine liberté de mouvements et d’amplitude, elle ouvrit légèrement les doigts. Elle sentit sous elle, les muscles de Natif se détendre et son impulsion régulière. Il y avait une fluidité totale. La jeune fille se contentait de suivre le mouvement de son cheval, laissant ses talons parfaitement vers les bas, le buste droit et légèrement bombé. Elle tenait un trot assis de qualité. De plus ses mains étaient parfaitement symétriques, et bien placés. Pour le moment, le couple évoluait avec simplicité, mais avec beauté. Natif était très magnifiquement équilibré et la battue égale. De plus, Isie sentait parfaitement que celui-ci était placé et incurvé. Elle le laissa évoluer sur cercle d’environ 20 mètres de diamètre, puis après quelques tours, décida de le repasser au trot. La transition se devait d’être parfaite. La jeune fille resserra la pression de ses doigts sur la bouche, et pencha son buste légèrement vers l’arrière. Sentant les gestes de sa cavalière, certes minimes, mais d’une extrême précision, l’hongre repassa, dans un mouvement aérien, au pas. A ce moment précis, la jeune fille, le fit repasser la piste du manège. Elle le laissa se reposer quelque temps. Relâchant ses rênes, les laissant tombées vers l’avant, mais les retenant, pour permettre un léger contrôler sur son équidé, elle défit toute pression et toute position. Elle sentit Natif faire de même, en baissant la tête vers le bas, et en laissant libre cours à son allure pas, sans cadence et recherche de perfections.
Isie nota que pour cette première partie, elle avait réussi à maintenir la position de son cheval au pas. Celui-ci était parfaitement incurvé et il n’y avait aucune résistance de la part de l’hongre. De plus, il avait évolué, de façon souple sur le cercle au trot. Il était cadencé, mais manquait un peu de retenu et l’impulsion était parfois irrégulière. Elle se devait d’améliorer ce point là. Mais c’était une belle évolution pour le moment. Après, elle devait rechercher l’amplitude du cheval, pour atteindre le trot allongé, ou bien un trot de travail parfaitement régulé. Mais avant toute chose, elle devait travailler au trot moyen ! Elle flatta son cheval, et s’exclama de façon enjouée :

« C’est bien mon beau ! T’es quasi parfait ! » Elle se pencha en avant, et colla sur l’encolure de Natif, un baisé rapide, mais fort affectueux. Elle le laissa se détendre encore un petit peu. Elle en profita, pour travailler sa position. Ses talons étaient une catastrophe. Elle les laissait sans arrêt remonter, et cela n’était absolument pas bon. De plus ces épaules se secouaient à chaque foulée. Certes, elle devait être décontractée, mais elle n’avait pas encore suffisamment d’expériences, pour garder une position légère, mais immobile. Elle devrait s’entraîner fortement sur ce point là. Elle replaça son cheval sur la piste. Comprenant, qu’on reprenait le travail, l’hongre se replaça de la même façon que l’exercice travaillé précédemment. Isie ne put s’empêcher d’exprimer un sourire. Il était réellement bien dressé ! Elle avait de la chance de travailler avec un hongre puissant, mais magnifiquement dressé. Elle pensa automatiquement à ses talons. Elle les poussa excessivement vers le bas. Ce n’était certes pas la meilleure façon de procéder, mais au moins, si elle relâchait ses talons et les laissait remonter vers le haut, son cheval le sentirait et réagirait en conséquence. Elle plaça ses mains bien vers le bas, et s’obligea à garder le dos bien droit. Puis elle appuya doucement avec ses mollets sur les flancs du cheval et celui-ci partit dans un trot très agréable, mais hélas peu cadencé. Cherchant la cadence et la régularité en premier temps, elle se dit qu’il fallait distendre la dureté de ses mains. Elle s’avait que si un cheval ne trouvait pas régularité entre la distance de ses battus, et la cadence idyllique, cela était dû au cavalier. Elle lâcha donc un peu de ses doigts. Elle sentit alors, un grand changement chez le cheval. Il prit une allure régulière, souple, mais avec une excellente impulsion. Les postérieurs expulsaient la même puissance, et le trot était parfaitement régulier ! L’équilibre d’Isie en était largement changé. Elle se tenait bien mieux et ses talons ne remontaient pas ! Elle était très contente d’ainsi réussir à avoir un trot moyen excellent. Bon, l’excellence est un mot un peu fort. Cela était surtout dû au cheval, mais si la jeune fille n’avait pas pensé à se rectifier, et à réfléchir à la position du cheval et au reste, ce trot moyen ne serait pas ce qu’il est ! Elle était très contente. Elle avait atteint, 1 de ses objectifs ! Elle décida, que sur ce trot là, elle exécuterait quelques figures de basses écoles. Elle était à piste à main droite, et à la prochaine diagonale, elle changerait pour la piste à main gauche. Elle contempla son parcours, pendant qu’elle améliorait sa position et celle de l’équidé, pour entamer la diagonale. Elle en profiterait pour développer l’amplitude de Natif. Elle relâcha la pression de ses doigts, comprima avec douceur ses mollets contre le flanc, puis laissant l’hongre allongeait son trot. Il avait ses membres dans un parfait parallélisme, et ses antérieurs, grâce à la forte impulsion de ses postérieurs, augmentaient l’amplitude de ses foulées. Cependant il accélérait considérablement. Et elle ne voulait pas de ça. Elle se pencha très légèrement vers l’arrière, et Natif repassa à un trot moyen. Puis elle attendit d’arriver à la grande longueur, pour de nouveau travailler l’allongement du trot. Elle se replaça, remettant ses talons vers le bas, et projetant son regard vers le loin. Elle avança son contact Main/bouche vers l’avant et le bas. Elle poussa avec « La ceinture », les fesses et le dos, de façon non –excessive. Natif envoya ses antérieurs vers l’avant, dans une extension partant de l’épaule et arrivant jusqu’à la pointe du sabot. Le dos restait flexible, les postérieurs s’engageaient fortement sous la masse et détendaient, tout en se détachant du sol. Isie se sentait portait dans les airs. Les muscles de Natif étaient extrêmement puissants, et elle sentait toute leur force sous elle. Elle était fascinée, mais tellement heureuse d’avoir pu exécuter un trot allongée, non pas parfait, d’une beauté assez impressionnante. Elle avait travaillé sa position et celle de son cheval. Elle se pencha en arrière, sans tirer sur les rênes, et d’une façon majestueuse la transition trot/pas se fit. Isie lâcha complètement ses rênes et se pencha en avant vers l’hongre. Elle le flatta longuement, tout en lui exprimant oralement tout son bonheur :

« On a fait du trot allongée ! C’était super ! Super ! Merci Natif ! T’es Parfait ! » Elle lui colla un chapelet de bisous sur l’encolure, et laissa libre cours à son plaisir. Elle avait obtenu l’objectif qu’elle voulait atteindre. Elle avait fait du trot allongée. Et pas un trot allongé de débutant. Non, elle avait appris à se placer correctement, pour faire du trot allongée. Et Natif avait fait son travail, tout en expliquant, par des mouvements brusques parfois, ou par mauvaises positions, les erreurs qu’avait faites Isie. Mais au bout du compte, elle avait en parti réussi, et cela grâce à Natif ! Elle était si contente. Elle sentit sous ses doigts la transpiration de l’hongre. Il avait aussi travaillé !
Elle le laissa se détendre. Pas trop longtemps, car dans peu de temps, il y aurait la récompense à tant de travail ! Du galop ! Elle attendit 5 bonnes minutes, puis replaça piste à main gauche Natif. Elle laissait ses rênes détendus. Natif comprenait, aux manques d’aides d’Isie, qu’il ne s’agissait pas de faire du trot ou de se placer, mais de s’amuser. Elle plaça ses aides. Jambe extérieur reculée et jambe intérieur faisant une légère pression. Il partit dans un galop furieux et superbe. Il lança quelques coups de culs. Il se détendait en bref ! Elle se mit à rire, heureuse de cette séance ! Isie avait atteint des objectifs en compagnie d’un cheval puissant, bien dressé, mais un peu nerveux ! Elle se laissa portée par le galop divin de Natif. Elle se laissait simplement porté par la Création divine: le Cheval.

J'avoue le texte c'était pas trop --'! Je savais pas quoi écrire! Mais mercii! Je prends note! Et je suis totalement d'accord avec ce que tu as écrit! MERCI

Dank!

SALUUUUUUUUUT Coloc'
Bienvenue!!!