[*Un bon déjeuné le matin, y a rien de mieux! (libre)

Kate revint des écuries, conquise par cet étalon très câlin et si beau. Son deuxième jour commençait assez bien, au programme, elle avait prévu de revenir dans l’après-midi monter Shut Up pour le tester un peu, voir ce qu’il savait faire et si son duo allait marcher ou pas. Elle sortait des écuries, il faisait toujours aussi froid et la demoiselle se précipita vers l’intérieur du bâtiment. Arrivée à la réception, elle regarda autour d’elle, se demandant ce qu’elle allait bien pouvoir faire pour occuper son temps, sachant qu’il était assez tôt et que la plupart des élèves de cette académie et donc de ses rencontres du soir précédent, dormaient encore. Elle voudrait bien pouvoir faire de même mais elle n’était pas habituée à changer d’horaire et qu’il faudrait que son corps s’habitue lui aussi. Elle entendit alors un bruit bizarre venant du bas de ventre. C’était son estomac qui criait famine, le pauvre n’avait pas encore été nourrit depuis hier avant son vol. Elle décida donc d’aller en cuisine se préparer un bon petit déjeuner digne de ce nom avant d’être animée par des crampes.
Elle rentra donc dans la pièce manifestement vide mais ça l’arrangeait bien, pour se préparer ce qu’elle avait en tête, elle avait besoin de place. Elle se mit donc au travail. L’anglaise ouvrit d’abord le frigo pour prendre ce qu’il lui fallait : deux oranges, du lait, du bacon et un œuf. Dans un placard, elle prit la confiture et le choco. Elle attrapa deux toasts qu’elle mit dans le grille-pain et prit une casserole pour y faire chauffer le lait. Un verre, une tasse et un bol, elle saisit les kellog’s et les versa dans ce dernier. Les deux toasts sautèrent du grille-pain, elle prit, les posa sur une planchette, prit un couteau et se mit à en tartiner un de beurre sur lequel elle posa une tranche de fromage qu’elle enduisit de confiture et elle tartina le deuxième de choco. Elle trempa un doigt dans le lait et comme celui-ci était assez chaud, elle le fit couler dans sa tasse et y ajouta deux cuillères à café de cacao. Elle rinça la casserole et la remplit d’eau qu’elle fit bouillir et y mit l’œuf pour le faire cuit dur et fit cuire son bacon dans une poile huilée à coté. Elle s’installa sur une chaise avec devant soi son bol de kellog’s et son assiette avec les deux toasts, l’œuf cuit dur avec ses « petits soldats » (les bout de pain qu’on trempe dedans !) et le bacon, son jus d’orange pressé et son cacao. Rien de tel pour commencer la journée.
Elle s’installa bien confortablement sur la chaise et attrapa sur une pile de magazines, le dernier programme télé de la semaine. L’avantage quand on est anglaise et qu’on va dans une académie d’équitation américaine, c’est qu’on peut aller de l’autre coté de l’océan pacifique sans pour autant devoir parler une autre langue. Evidemment il y avait parfois quelques problèmes de compréhension avec l’accent et les mots, c’est comme entre belges et français n’est-ce pas ! Elle dégusta d’abord ses kellog’s aux copeaux de chocolats puis embrailla sur les toasts tout en buvant son cacao chaud et en tenant devant elle un autre magazine people. Elle déplaça ensuite son œuf et le bacon devant elle avec le jus d’orange pressé, elle était à la fin de son déjeuné après une dégustation de 20minutes… Alors qu’elle trempait son pain dans l’œuf, elle lu un article dans le magazine. « C’est pas vrai ! » pensa-t-elle après avoir lu le dernier article sur Amy Whinehouse, pour elle, ces stars étaient vraiment toutes stupides mais les paparazzis l’étaient encore plus. A la moindre petite gaffe qu’une star fait, ils sont là, ils prennent des photos. Il arrive même qu’ils fassent des montages et font courir des rumeurs totalement fausse et non-fondées sur la personne. Les rumeurs… Rien de pire pour casser un couple, une famille et parfois même toute une vie ! Elles font d’un heureux évènement tel que la grossesse ou la venue d’un bébé, quelque chose qu’on peut regretter parce qu’elle émet l’hypothèse que ce bébé n’est pas le vrai fils du père. Cela lui fit repenser à toutes ces années, dans le collège privé où ses parents l’avait inscrite sans qu’elle soit d’accord. Tout ces bourgeois qui faisait à chaque fois courir des bruits faux sur elle : « elle se drogue », « paraît qu’elle est sortie avec le prof de français », « je t’assure que je vais me la faire en soirée, paraît qu’elle chaude pas possible et tout le temps bourrée, elle s’en souviendra même pas, par contre moi… »,… Et toutes des stupidités dans le genre qui avaient provoquées des malentendus et même plus que ça entre elle et ses parents. Elle jeta le magazine sur le tas exaspérée de ce qu’elle venait de lire. « Je vais pas me gâcher ma journée par des souvenirs qui le revienne à cause d’un article débile d’une revue people ! »

- Moi aussi ça me gave toutes ces conneries !

Kate leva les yeux vers la personne qui venait de dire ces paroles, elle avait du dire tout haut ce qu’elle avait pensé.

[ Tu permet ? je m'ennuie ce matin :D ]

Validé by Ixia

-Ce genre de bêtises m’agace quelque peu moi aussi…

Kate leva la tête vers la fille qui était rentrée un peu plus tôt dans la pièce et lui sourit, contente de voir qu’elle n’était pas la seule à penser ça. Elle la contempla discrètement sans pour autant la dévisager. Elle était jolie, des cheveux très foncés du démon qui faisaient ressortir son teint pâle d’ange et ses yeux magnifique. Elle ne semblait pas vraiment à son aise et la regarda timidement.

-Je peux m’asseoir ?

Kate fut étonnée par cette demande, il est vrai que d’habitude, c’est plutôt elle qui hésite à aller vers les autres. Elle se précipita de lui répondre, craignant que l’ange-démon ne soit trop mal à l’aise en sa présence.

-Oui, oui, bien sûr ! Assieds-toi, fais à ton aise.

Elle lui jeta un petit clin d’œil pour bien lui montrer qu’elle ne dérangeait pas du tout, bien au contraire. Elle était contente de voir un nouveau visage dans cette académie et qui plus est, une lève-tôt, comme elle. Ca lui ferait de la compagnie dans les jours à venir, et puis cette fille semblait vraiment sympa, un peu timide, mais qui ne l’est pas à une première rencontre ? Elle s’assit donc en face de l’anglaise et bu une gorgée de son capuccino. Kate, qui avait finit de déjeuné, décida d’engager la conversation, ce qui était assez rare il n’y a pas si longtemps.

-Moi c’est Kate, je suis heureuse de voir qu’il n’y a pas que moi qui se lève de bonne heure…

-Oui, oui, bien sûr ! Assieds-toi, fais à ton aise.
-Merci, c’est gentil à toi.
-Moi c’est Kate, je suis heureuse de voir qu’il n’y a pas que moi qui se lève de bonne heure…
-Enchantée. Moi c’est Lydie… Lydie de Savy.

L’anglaise avait fini de manger et contempla la brunette en face d’elle. Elle la regardait couper son premier pain au chocolat en deux puis l’une des moitiés encore en deux. C’était une technique comme une autre n’est-ce pas. Ce qu’elle remarqua surtout, c’était ce petit doigt légèrement levé qu’elle avait aussi. Ainsi, elle venait également du milieu bourgeois et n’avait pas encore perdu toutes ces habitudes que leur ont appris leurs parents pour être plus distinguées, surtout pour qu’on les remarque ! « Pour qu’on nous remarque ! » ces paroles firent rire intérieurement la jeune fille. Elle savait qu’il y avait bien d’autres façons de se faire remarquer, et bien plus amusantes en plus. D’autres façons qui ne leurs attireraient pas des ennemis, ni des jaloux, juste des amis. JUSTE des amis, et pourtant, que fait-on quand on n’a pas d’amis fidèles, toujours là quand vous avez un problème ? Si vous ne savez pas y répondre, Kate, elle, pouvait vous le dire. Non qu’elle n’en avait pas, mais plutôt, qu’elle ne voulait pas en avoir là où elle était. Tous les mêmes, tous à vouloir être le meilleur, tous hypocrites, et elle n’aimait pas du tout ce genre de personnes.
Maintenant qu’elle avait enfin changé de vie, changé d’endroit et de milieu, elle serrait plus libre et elle aurait plus de gens avec qui faire la conversation, rire de bon cœur, avec qui faire les 400 coups. Elle fut interrompue par Lydie, qui avait fini son premier pain. Elle ne savait pas combien temps avait duré ce silence et fut contente que la demoiselle en face d’elle commence la conversation.

-Comment es-tu arrivée ici ?

C’était une bonne question pour commencer… Kate se reposa la question à elle-même dans sa tête, et comment y répondre. Soit elle lui faisait toute une tirade qui risquait d’emporter l’ange-démon dans les bras de Morphée, Soit, elle enlèverait tous les détails pour éviter ça. La seconde proposition semblait être la meilleure, encore fallait-il résumer, et ce n’était pas vraiment le point fort de Kate, pour elle, le détail est important pour bien comprendre. Son histoire d’avant l’arrivée à TH ne lui semblait pas simple. Si elle devait la raconter, il fallait qu’elle parle avant tout de son ancien petit étalon blanc-gris, si elle devait parler de lui, il fallait qu’elle explique leur rencontre, puis les relations qu’elle a eut avec ses parents, son coma, les petits instants de bonheur où elle avait cru que les vieux avaient enfin réussit à la comprendre, et ce concours qu’elle a fait avec un autre cheval que le sien, expliquer d’abord pourquoi puis la suite qui fut finalement heureuse car on l’avait remarquée pour cette académie, la discussion avec ses parents, ce qu’ils en ont pensé, etc… Pour elle, tout était important, c’était sa « vie » et elle ne savait pas comment la résumer en une phrase.

-C’est une longue histoire…

Finit-elle par dire. Une légère déception se marqua sur le visage de Lydie. « Bravo Kate ! Elle tente d’amener un sujet de conversation et toi tu lui dis en d’autres termes que tu ne veux pas répondre à sa question ! ». Elle la regarda et dans un sourire, tenta une explication brève.

-Je viens d’un milieu bourgeois mais je ne m’entends pas vraiment avec mes parents, puis j’ai fais la « rencontre » d’un étalon qui m’a bien aidé, après quelques temps j’ai participé à un concours, je n’ai pas pu monter mon cheval mais je me suis débrouillée, on m’a remarquée, on ne peut pas dire que mes parents étaient fiers, mais ils étaient soulagés que c’était une chance pour être enfin digne de mon nom… Alors j’ai atterri ici pour mon plus grand soulagement et aussi pour mon bonheur. Je ne suis plus chez ses bourgeois et ils ne me pourrissent plus la vie !

Pour quelqu’un qui ne savait pas résumer, elle était plutôt fière d’elle. Lydie l’avait écoutée et Kate en était reconnaissante, elle n’était pas non plus habituée à raconter une histoire à quelqu’un et encore moi à ce que cette personne l’écoute !

-Et toi, comment t’as atterri ici ?

La brunette avait été attentive à son récit, tout en mangeant ses 2 pains au chocolat accompagnés du cappuccino. Pour on ne sait quelle raison, elle releva la tête pendant son histoire, encore plus intéressée par ce qu’elle disait.

-Et toi, comment t’as atterri ici ?

Lydie la regarda et lui répondit, un petit sourire aux lèvres.

-C’est aussi une longue histoire, et qui ressemble un peu à la tienne, mais en un peu plus compliqué, je m’explique…

Ainsi elle venait bel et bien de la bourgeoisie elle aussi, Kate la regarda alors qu’elle commençait à son tour son récit.

-Je viens d’une famille bourgeoise, très vite j’ai appris à monter à cheval afin de pouvoir accompagné tout le monde à la chasse à cours, je ne me suis jamais entendue avec ma famille, excepté mon grand frère, qui avait beaucoup d’estime à mon égard, il était fier de montrer son argent, mais il était fier de voir que je tenais tête à mes parents. Je traînait dans les écuries en permanence, eux et moi n’étions pas du même monde, ils m’ont séparé des chevaux en m’emmenant en internat, puis j’ai voulu me venger, je me suis faite virée, et j’ai fonctionné de cette manière là pendant pas mal de temps ; puis un des directeurs avait tenu à bavarder avec moi, et m’envoya dans un centre équestre où j’y travailla, et où j’y réalisa un concours d’obstacle, c’est la que je me fit repérer, mais de loin pour mon super talent d’obstacle…

Elles n’étaient pas très différentes dans leur passé, certes, ce n’était pas la même histoire, mais le fond était le même, elles détestaient leurs familles car celles-ci étaient déçues d’elles. A la différence que Kate n’avait pas eu de frère derrière elle, ni de sœur d’ailleurs. Et elle avait aussi du se débrouiller avec les chevaux, car ses parents ne l’avait jamais soutenue et il était difficile pour elle de se rendre quelque part où elle pouvait être une inconnue même en prononçant son nom. Elle laissa échapper un petit rire quand celle-ci lui confia que son niveau d’obstacle pouvait encore beaucoup s’améliorer. Kate était plutôt à l’aise dans cette discipline. Quand elle a eu son cheval d’argent, un surnom qu’elle se plaisait à donner à son étalon, elle avait tenté de l’initier à l’obstacle. Le saut du cheval était bon, il lui manquait les bonnes foulées que la jeune fille à tenter de lui apprendre, se ne fut pas sans peine, ni sans aide, mais elle y est arrivé. Elle a même gagné un petit concours d’obstacles entre les gens du manège, c’était de petites barres, 50-60, mais elle c’est là qu’elle avait remarqué à quel point il était agréable de se trouver en plein saut sur son cheval quand celui-ci a un bon niveau.
Kate sentait qu’elle pourrait bien s’entendre avec Lydie, elle essayait de ne pas se plaindre de son passé, mais le fait de pouvoir critiquer le milieu dans lequel elle vivait avec quelqu’un qui le connaissait et qui le détestait aussi était agréable. Elle jeta un petit coup d’œil à l’horloge sur le mur, ça faisait presque une heure qu’elle était ici. Elle reporta à nouveau son regard sur la demoiselle en face d’elle. Elle ne voulait pas la laisser tomber en plein milieu d’une conversation, la jeune fille buvait son cappuccino tranquillement.

-Je vois que toi aussi tu t’es amusée à faire enrager tes parents… Figure-toi que j’y ai pris aussi du plaisir surtout avant de venir ici, c’est fou comme ils peuvent se soucier de leur réputation à eux jusqu’au dernier moment ! Mais comme moi je ne m’en souciais plus, ça me faisait bien rire… Juste histoire de rire un peu, maintenant qu’on est toutes les deux libre de penser ce qu’on veut, t’as pas des anecdotes ?

[pas très satisfaite, j espère que tu vas trouver l inspi! ^^... Sinon, je ne compte pas les 500 mots pcq il y a beaucoup de paroles recopiées... sauf si on accepte, mais je la joue fairplay pour les rouges!]

Kate appréciait parler avec cette fille au passé plus ou moins similaire au sien. Elle l’écouta raconter ses quelques anecdotes, les comparants aux siennes. Apparemment la manie de faire enrager leurs parents était présente chez ses deux jeunes filles, et il était très facile de le mettre en pratique, mais leurs façons étaient quand même différentes. Kate se demandait si sa vie aurait été la même si elle avait eu à ses cotés un frère ou une sœur capable de la comprendre. Surement que non, elle aurait eu un confident et un conseillé, et elle aurait surement pu passer au-delà de beaucoup de problèmes. Bref, après les histoires de la dite Lydie, Kate laissa échapper un rire, amusée par le sourire qu’arborait la jeune fille visiblement satisfaite de ce qu’elle avait pu faire subir à ces bourgeois.

-C’est des trucs bête, mais qui les faisaient sans cesse bien enragé, je dois bien l’admettre.

La jeune fille comprenait bien ce qu’elle disait, au risque de se répéter, elle connaissait ça aussi. Elle accompagna de bon cœur le rire cristallin de la demoiselle et la contempla boire son cappu qui fumait toujours. Le petit démon lui demanda alors ses anecdotes à elle. Si Kate avait des anecdotes ? Ce n’était pas une question à poser… Même si elle ne l’aurait pas voulu, elle en aurait eu. Elle se mit alors à son tour à expliquer les quelques trucs les plus amusants.
Le premier qu’elle se mit a raconté, c’était la fois où elle était partie tôt le matin pour allez rejoindre son cheval, elle pensait qu’ils ne se préoccuperaient pas d’elle, mais en revenant le soir, il y avait des voitures de polices dans toutes la cour. Elle n’a rien eu, mais ses parents avaient vraiment eu l’air bête devant tant de policiers monopolisés pour finalement rien.
Une autre fois, elle avait eu un petit problème avec une fille, celle-ci s’était coupée et Kate l’avait aidée à arrêter le sang qui coulait. En revenant, elle était toujours pleine de sang, sa mère s’est écroulée et son père l’a envoyée dans sa chambre…
Cette dernière pensée lui fit quelque peu perdre le sourire. Et si elle avait vraiment été blessée, son père n’y aurait vu que du feu, peu lui importait ! Mais elle reprit vite ses esprits, ici, il n’était plus question de penser de cette façon à son passé, surtout qu’elle était venue pour pouvoir enfin y échapper. Mais, c’était bien beau de parler de tout ça, Kate avait prévu une petit longe avec son cheval, et elle avait encore quelque trucs à faire avant, elle regarda Lydie un peu embarrassée.

-Je suis désolée, mais il faudrait que j’y aille, j’adorerais continuer de parler avec toi mais j’avais prévu de voir un peu le potentiel de mon cheval…

[sorry, manque d inspi... mais si tu trouve un truc pour prolonger le RP, je te suis! ]

La jeune Lydie ne le prit pas mal, au contraire, elle était là, face à elle et souriait.

-Oui, bien sûr, y a pas de soucis, on trouvera bien l’occasion de se revoir un de ces quatre ?!

Bien sur qu'elles se reverraient, Kate n'avait pas l'intention d'oublier ce petit bout de femme, et si elle avait eu le choix, elle serait volontiers restée avec elle et continuer de parler. Lydie griffonna quelques chiffres sur un bout de papier qu'elle tendit ensuite à la blondinette. Celle-ci cru comprendre que dessus était marqué le numéro de portable ainsi que celui de la chambre de la demoiselle.

-Tiens, si jamais tu veux m’appeler, je te laisse mon numéro, et ça, c’est mon numéro de chambre, si jamais un jour t’as besoin de venir me parler, la porte sera ouverte.

Elle l'attrapa et survola tout les chiffres, elle sourit et écrit à son tour son numéro de portable et de chambre.

-J'ai été heureuse de faire ta connaissance Lydie, on se revoit plus tard!

Elle garda précieusement le petit bout de papier que le petit diable devant elle lui avait donné et quitta la cuisine tout en lui lançant un clin d'œil.

[Sujet clos je pense, très court, mais j'allais pas te laisser sans réponses ;p]